Thème de formations sur l’aide, l’écoute et l’accompagnement

En 1 journée (formation de 6h)

« Entre les soins et les affects, comment trouver une place  » juste » pour tous, où l’on puisse entendre, aussi, ce qui ne peut pas se dire ? »

L’annonce d’une maladie grave est un événement potentiellement traumatique. Elle fait irruption dans la vie d’une personne et actualise l’éventualité de la mort. L’onde de choc touche également les proches et bouleverse le système et le fonctionnement familial. La communication peut se complexifier et engendrer des malentendus entre les proches eux-mêmes et/ou avec les soignants.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet et désirant comprendre et aider au mieux un proche malade.
• Cette formation s’adresse également aux professionnels de la santé (médicaux, paramédicaux, aidants, volontaires,…).

• Mettre en évidence les répercussions psychiques de la maladie grave sur le sujet malade.
• Analyser le fonctionnement familial affecté par la maladie grave d’un de ses membres.
• Comment communiquer au mieux dans le contexte « tendu » de la maladie grave ?
• Apprendre à faire face et se protéger des répercussions émotionnelles du patient, de sa famille et de ses proches, des autres soignants.
• Développer une attitude « juste » pour chacun.

• Les différents liens entre le corps médical, le malade et sa famille.
• Le processus relationnel et affectif.
• Le bouleversement au niveau de la communication et du fonctionnement familial : comment parler de la maladie ? Comment parler aux enfants ? Les silences, les non-dits, les prises de décision divergentes, les changements de rôles, le sentiment de solitude,…
• Pistes pour mobiliser les ressources de la famille et de ses membres à s’adapter à la nouvelle réalité
• Comment accueillir au mieux la souffrance spécifique des familles (enfants et adultes) ?

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques, mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils et échanges, partages des vécues et expériences issues de la pratique de chacun.

Le personnel actif au sein des différentes structures de soins connaît son public cible : Il a appris à accompagner et repérer les besoins des personnes âgées, désorientées et ou en perte d’autonomie. Qu’en est-il lorsque la personne est plus jeune ou présente d’autres troubles ? Elle nécessite un cadre, une posture et une attitude différentes de celle qu’on adopte majoritairement. Comment, sans être formé aux soins psychiatriques, peut-on aider le bénéficiaire et rentrer en contact de manière constructive.

Ces questions se posent pour le personnel soignant mais également pour les acteurs de cuisine, d’entretien, d’accueil, d’animation confrontés à ces personnes dont les comportements sont quelquefois vécus comme déstabilisants et tout autant aux personnes privées confrontées à ces troubles chez un proche ou membre de la famille. Nous vous proposons une journée d’immersion dans le vécu de ces personnes pour tenter de comprendre ensemble ces phrases, postures, comportements vécus comme perturbants et réfléchir aux stratégies pour y répondre au mieux.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne non soignante professionnelle qui accueille et est confrontée à des résidents/patients/bénéficiaires/proches présentant un profil psychiatrique.

• Permettre aux travailleurs de mieux comprendre et accompagner la personne souffrant d’une pathologie psychiatrique. En comprenant ce que vit ce patient/résident/bénéficiaire/proche, la personne sera davantage en mesure de changer, d’adapter sa façon de faire et d’être. Elle sera plus à même de différencier une personne avec un profil psychiatrique, d’un profil neurocognitif (démence) et s’y adapter.
• Identifier les groupes de pathologies psychiatriques : troubles psychotiques, troubles de l’humeur, troubles anxieux (caractéristiques, manifestations, traitements).
• Comment accompagner ces résidents/patients/proches ?
• Analyser, pour une population de travailleurs essentiellement de formation non-soignante, comment poser des actions cohérentes avec le reste de l’équipe et des proches.
• Apprendre à ajuster son mode relationnel en lien avec les situations rencontrées : délires, hallucinations, traits paranoïaques, troubles de l’humeur.
• Développer des pistes pour un travail ensemble au sein de l’institution avec les familles et les accompagnants.

• Représentations sociales de la maladie mentale et identification du contexte actuel.
• Délimiter ce qu’on appelle les troubles psychiatriques, comment les différencier.
• Psychiatrie : Entre fantasmes collectifs et comportements dérangeants. Comprendre et gérer ses propres inquiétudes.
• Comment accompagner ces personnes souffrant de troubles psychiatriques ?
• Comment agir face aux comportements et attitudes déstabilisantes (les délires, les hallucinations, les traits paranoïaques, les troubles de l’humeur,…) ?
• Quelques éléments permettant de différencier un « profil psychiatrique » d’un « profil neurocognitif ». 
• Mise en évidence des éléments spécifiques qui facilitent l’accueil et l’accompagnement de ce public. 
• Comment tenir un cadre rassurant en équipe face à des bénéficiaires en demande de structure.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

Public cible

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet et désireuse de découvrir la communication avec une personne atteinte de troubles neurocognitifs.

Objectifs

• Mieux comprendre la personne souffrant de troubles neurocognitifs.
• Développer des compétences relationnelles spécifiques➢ Pouvoir accompagner les difficultés dans la relation.

Contenu

• Caractéristiques des troubles neurocognitifs et leurs impacts sur la communication.
• Faire face à la confusion.
• Initier et maintenir la communication.
• Les approches non médicamenteuses.

Méthodologie

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants. 
• Apports théoriques, mises en situation et exercices pratiques ➢ Présentation d’outils diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.

En 1 journée (formation de 6h)

Dans une perspective pluraliste, cette formation permet d’aborder ces sujets encore tabous dans notre société occidentale que sont la mort et les besoins spirituels ou le questionnement existentiel, face à la vulnérabilité et à la finitude (la mienne, celle de l’Autre). Cette formation renvoie tout un chacun à la réalité de notre condition humaine (finitude, solitude, incertitude) et au processus d’acceptation de cette réalité (sans renoncer à ses désirs) pour nous rendre plus sensible à la valeur du moment présent et de gagner en intensité et en aptitude au bonheur dans la vie au quotidien.

Public cible

Cette journée est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet, à titre professionnel ou personnel.

• Aborder le thème de la mort et le thème des besoins spirituels des personnes confrontées au deuil, à la maladie, au grand âge et/ou à la fin de vie.
• Prendre conscience de ses ressources comme de celles de la personne accompagnée.
• Approcher la question du sens et de l’accompagnement spirituel comme enjeu dans les soins et comme enjeu de société.

• Les représentations de la fragilité et de la mort dans notre société occidentale.
• Les trois désirs et les trois réalités existentielles, selon J-M Longneaux.
• L’échelle des besoins de Maslow.
• Notion de souffrance spirituelle et de souffrance globale en soins palliatifs ou fin de vie.
• La différence entre les dimensions psychologiques, religieuses et spirituelles.
• La différence entre « croyances » et « expérience spirituelle ».
• La transversalité du spirituel dans l’accompagnement.
• Les étapes de la naissance en lien avec les étapes de la mourance : un éclairage de Lydia Müller.
• Exercices de respiration consciente pour favoriser la stabilité intérieure.
• La dimension d’Être et l’espace de la Présence (à Soi, à l’Autre) comme soin spirituel.
• La force des rites en réponse aux besoins de sens et de reliance.
• Échange quant à la place de l’accompagnant, quel qu’il soit, face à la personne en fin de vie.

• Partage d’exemples et témoignages quant aux anciens et aux nouveaux rites.
• Exercices de pleine conscience.
• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques, mises en situation, exercices pratiques et présentation d’outils concrets.

Nombreuses sont les situations de vie qui provoquent un traumatisme : pertes multiples, maladie, perte d’autonomie, séparations, décès d’un proche,… Les travailleurs sont régulièrement confrontés aux deuils que ce soit à titre personnel ou parce qu’ils sont touchés par ceux des personnes qui les entourent. Le deuil fait partie du processus de vie. Le comprendre et développer ses compétences pour soutenir ces traversées de vie est utile autant dans sa vie personnelle que professionnelle.

Les proches (collègues, membres de la famille, amis, collaborateurs,…) se sentent souvent démunis face à la souffrance de l’autre. Celle-ci peut être la conséquence de tant de deuils différents (divorce, déménagement, conflit familial, réorientation professionnelle, maladie, décès d’un proche,…) et générer des réactions diverses quelle qu’en soit la cause.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet, à titre personnel ou professionnel.
• Destinée à ceux et celles qui souhaitent être à l’écoute des deuils et pertes vécus dans leur quotidien personnel et/ou professionnel ou ceux vécus par l’entourage, les proches, la famille,…

• Développer de bonnes attitudes.
• Que dire et ne pas dire ?
• Quels sont les signaux à identifier afin d’éviter un deuil compliqué ou pathologique ?
• Quand faire appel à une aide extérieure ?
• Comment aider la personne à parler de son traumatisme ?
• Comment accompagner la personne en souffrance pour l’aider à franchir les différentes étapes du deuil pour retrouver son énergie vitale, rebondir et se réorganiser dans la vie.
• Développer à la fois un savoir-faire, un savoir être et une vraie écoute qui soutiennent l’autre sur son propre chemin de deuil.

• Définir des concepts tels que le trauma, le deuil, les pertes, les frustrations.
• Présenter des grilles de lecture et d’analyse du processus de deuil.
• Expliquer les outils d’intervention aux différents stades d’évolution du processus de deuil.
• Comprendre l’interaction entre le deuil, la gestion du stress et la santé.
• Reconnaître les signaux comportementaux liés à un traumatisme ou à un deuil et leur influence sur l’entourage.
• Reconnaître et apprendre à traverser les émotions liées au deuil.
• Analyser le fonctionnement de notre système émotionnel.
• Identifier les différents types de dysfonctionnement de notre système émotionnel.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques. 
• Mises en situation et exercices pratiques et présentation d’outils.

Les travailleurs peuvent être confrontés à des personnes dépendantes et cette dépendance peut mettre à mal leur fonction.  Cette formation a pour objectif de questionner et dépasser des idées reçues pour mieux comprendre le processus de dépendance et cela que ce soit à titre personnel ou professionnel. Cette formation permet de mieux appréhender les situations de consommation et de renforcer les compétences professionnelles ou personnelles et la réactivité face à des comportements de dépendance.  

Mutualiser les ressources au sein d’équipes pluridisciplinaires et développer des partenariats pour favoriser la compréhension de ces situations à risques. Cette formation permettra aussi de mettre à jour les connaissances sur les phénomènes de consommation d’alcool, tabac, cannabis, réseaux sociaux, internet, GSM, jeux-vidéos mais aussi de découvrir des stratégies de détection, d’analyse et d’intervention possibles avec le public cible.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet.
• Pour ceux et celles qui côtoient ou travaillent avec des personnes dépendantes et/ou qui désirent comprendre la notion de dépendance.

• Insérer cette réflexion dans sa pratique professionnelle ou son parcours de vie.
• Mettre à jour ses connaissances relatives aux assuétudes : alcool, cannabis, tabac, autres substances illicites ainsi que de nouvelles formes de dépendance comme les réseaux sociaux, internet, le jeu,…
• Identifier les signes typiques et atypiques auxquels il faut être attentif pour détecter une éventuelle difficulté par rapport aux assuétudes.
• Se questionner et dépasser les préjugés qu’on peut avoir sur les produits et leurs usages afin de mieux comprendre les situations liées aux consommations.
• Aborder le sujet de la détention et l’usage de produits dans une perspective globale, centrée sur la personne et sur son développement et son parcours de vie.
• Apprendre à mettre des limites dans sa pratique et à travailler sa place au sein d’une équipe pluridisciplinaire au regard de situations de consommation.

• Une approche théorique de la dépendance (cannabis, alcool, jeu pathologique, réseaux sociaux,…).
• Les différents signes de la consommation/dépendance.
• Les pistes d’intervention.
• La notion de plaisir.
• Les effets des substances sur le cerveau.
• Les notions de cadre, limite, cohérence et celles d’usage, abus et dépendance.
• L’apport du virtuel dans les dépendances.
• Réflexions autour du rôle des réseaux sociaux.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.
• Jeux de rôles.
• Utilisation de médias pédagogiques.

L’agressivité est une réaction de défense. La personne se sent démunie et ne sait pas toujours la verbaliser, ce qui peut entraîner une réaction agressive, souvent verbale, parfois même physique. Le soignant doit pouvoir relativiser celle-ci et la comprendre afin d’aider la personne à retrouver de la sérénité.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet qui souhaite améliorer la qualité de sa communication, plus encore face à une personne agressive.

• Comprendre le « sens » et la possible « finalité » d’une communication ou d’un comportement d’agressivité chez la personne malade, âgée ou des proches.
• Développer des outils et attitudes positives afin d’installer une communication sereine et respectueuse pour faire face et prévenir les comportements agressifs des interlocuteurs.
• Garder la juste distance et l’intervention « juste » dans ce moment extrêmement fragile.
• Acquérir des clés de compréhension qui vont nous aider à gérer l’agressivité de manière différente.

• Comprendre les mécanismes psychiques de l’agressivité.
• Analyser les symptômes psychologiques ou relationnels pouvant être liés au comportement agressif : dépression, sentiment de perte, maladie neurologique, problématiques familiales,…
• Décrire le processus de deuil qui implique la séparation, le départ de son lieu de vie, générateur (parfois) d’un comportement violent.
• La communication constructive et/ou non violente pour faciliter une communication positive entre les différents intervenants, la personne âgée, ses proches et la famille.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils concrets.
• Échanges, partages des vécues et expériences issues de la pratique du formateur et des participants.

En 1 journée

La fin de vie impacte à des degrés différents le patient, ses proches et les soignants. Le système et le fonctionnement familial sont bouleversés. La communication peut se complexifier et engendrer des malentendus entre les proches eux-mêmes et/ou avec les soignants.

Cette formation s’adresse à tout public, à toute personne intéressée par le sujet et confrontée aux conflits dans son environnement personnel et/ou professionnel et qui veut comprendre comment prévenir ou désamorcer les conflits dans le respect de soi-même et de l’autre.

• Explorer les aspects subjectifs et/ou psychiques qui se jouent dans le cadre des soins palliatifs pour les patients, les familles et les soignants. 
• Analyser les dynamiques relationnelles qui sous-tendent cette période.
• Développer des compétences pour accueillir, comprendre et légitimer les émotions de chacun.
• Apprendre à ajuster sa communication dans une juste présence.

• Le vécu de la personne gravement malade : manifestation psycho-affective et ou comportements « inattendus ». Partage d’une boîte à outils pour y faire face.
• Le vécu des familles : souffrance psychologique et quelques-uns de ses différents modes d’expression. Accueillir au mieux cette souffrance spécifique.
• Le vécu des soignants : apprendre à se connaître pour mieux accompagner.
• Outils de communication améliorant ces différentes dynamiques relationnelles.

Inspirée du parcours de Colette Roumanoff, qui a accompagné son mari atteint de cette maladie, pendant plus de dix ans, cette formation vous invite à poser un autre regard sur la maladie d’Alzheimer. Cette formation est basée sur une approche profondément humaine, bienveillante et concrète, pour transformer le quotidien et redonner du sens à la relation.

Public cible

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet à titre personnel ou professionnel.

• Changer votre perception de la maladie et mieux comprendre la réalité vécue par la personne atteinte d’Alzheimer.
• Adapter vos gestes, vos mots et vos repères, afin d’éviter les tensions inutiles et préserver un climat apaisé.
• Découvrir des outils simples et concrets pour accompagner au mieux la personne malade, tout en préservant son autonomie et sa dignité.
• S’appuyer sur des exemples de terrain et des situations vécues, pour enrichir votre pratique et rester connecté à l’humain.

• Échange d’expériences basées sur l’approche de Colette Roumanoff.
• Apports théoriques.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Mises en situation et exercices pratiques.

Ce module répond aux besoins des travailleurs et à ceux de toute personne à titre privé, dans la mesure où il éclaire le public sur ce qu’est un projet de soins personnalisé et anticipé, son utilité et invite à réfléchir de quelle manière le mettre en place ou l’articuler au sein de l’institution.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet à titre personnel ou professionnel par le respect de ces/ses décisions concernant la vie de vie.
• Pour les professionnels : infirmiers, aides-soignants, psychologues, assistants sociaux, aides-familiales, les volontaires,…

• Présentation du « PSPA » : Projet de Soins Personnalisé et Anticipé.
• Analyser les différentes déclarations/directives anticipées en Belgique.
• Distinguer des notions telles que l’euthanasie, les soins palliatifs, le non acharnement,…
• Comment initier et maintenir le dialogue avec le résident au sujet de sa fin de vie.
• Identifier ses propres mécanismes de défense face aux questions de la fin de vie.
• Faire connaissance avec les outils à disposition.
• Faciliter leur mise en place.

• Présentation du cadre légal en Belgique et retour sur les lois de 2002 qui constituent le cadre du PSPA (droits du patient, les soins palliatifs et l’euthanasie).
• Présentation des 5 déclarations / directives anticipées.
• L’intérêt de ce cadre pour le résident, les familles et les soignants ou toute personne concernée.
• Prendre conscience de ses propres mécanismes de défense face aux questions de la fin de vie.
• L’écoute de la famille (ou proche) et celle des soignants dans ce contexte.
• L’écoute et l’accueil de la parole du résident ou de la personne concernée.
• Replacer cette personne au cœur des décisions quant à ses soins et souhaits de fin de vie.
• De quels outils disposons-nous ? Exemple carnet de vie.
• Les freins et les leviers à propos de ce recueil – Activons les leviers.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques, mises en situation, exercices pratiques et présentation d’outils.

La douleur ne peut pas rester sans réponse. Parallèlement à l’utilisation d’antidouleurs, nous proposons au patient différents outils thérapeutiques qui vont l’aider à être plus confortable le temps qu’un médicament agisse ou lorsque la douleur se majore. La Pleine Conscience est à l’avant-plan. Elle a fait ses preuves au niveau scientifique dans la gestion de la douleur.

• Cette formation s’adresse aux soignants (médicaux, paramédicaux,…) et aux volontaires/aidants proches en contact avec des patients présentant des douleurs et des symptômes d’inconfort.
• Les soignants y trouveront matière à compléter leur savoir, à échanger. Les non-soignants (volontaires/aidants proches) y trouveront les informations nécessaires à une meilleure compréhension de la douleur.

• Placer le patient au centre de la gestion antalgique.
• Observer, évaluer et soulager la douleur.
• Donner des pistes alternatives pour la prise en charge thérapeutique.
• Aider le soignant à soulager la douleur et à faire face à son impuissance si la douleur persiste.
• Associer les moyens allopathiques aux techniques alternatives.
• Écouter les difficultés des soignants et les aider dans la communiquer avec les médecins.

• Écouter la douleur comme moyen de la diagnostiquer et de la soulager.
• Faire face à son impuissance à aider une personne souffrante.
• Soignant/soigné, devenir co-acteurs de la gestion de la douleur.
• Comment les émotions influencent- elles la douleur ?
• Gérer les émotions lorsque la douleur est présente.
• Manutention d’un patient douloureux.
• Le toucher thérapeutique dans le soin infirmier.
• Le massage crânio-sacré comme antalgique.
• L’influence de la respiration sur la douleur et sur les émotions associées.
• La pratique de la Pleine Conscience.
• Les Fleurs de Bach dans la gestion de la douleur.
• Les huiles essentielles qui soulagent.
• Douleur et dyspnée, comment les dissocier.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques. 
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.
• Partage d’expériences professionnelles et exposés des situations difficiles où le soignant a été face à son impuissance.
• Évaluation d’une douleur vécue par le soignant afin et comparaison avec les autres participants afin de mettre en avant le côté subjectif de la douleur.

Les personnes âgées/en fin de vie sont spécialement concernées par la douleur. Souvent difficile à gérer, elle entraîne de l’impuissance pour les professionnels et perturbent les relations avec les patients/résidents. Être capable de répondre à la demande de soulagement allège la charge de travail des professionnels : les relations s’améliorent, le patient/résident récupère une part de son indépendance. La gestion des autres symptômes concourt au bien-être général et à la gestion de la douleur.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet à titre personnel ou professionnel.
• Elle s’adresse aux soignants, volontaires, aidants et proches en contact avec des personnes présentant des douleurs et des symptômes d’inconfort.
• Les soignants (médicaux, paramédicaux,…) y trouveront matière à compléter leur savoir, à échanger.
• Les non-soignants (volontaires, aidants, proches) y trouveront les informations nécessaires à une meilleure compréhension du secteur dans lequel ils interviennent.

• Développer la compréhension du symptôme douleur.
• Mettre en place des actions concrètes pour la prise en charge.
• Comment améliorer son attitude relationnelle avec le patient/résident douloureux.
• Apprendre à observer le comportement douloureux et à transmettre les informations de manière objective à l’équipe/aux collègues.
• Identifier des moyens simples et efficaces pour diminuer les symptômes d’inconfort physiques et psychiques du patient/résident.
• Comment analyser les résultats d’un traitement de la douleur ?

• Douleur ou souffrance ? Aiguë ou chronique ? Douleur nociceptive ou neuropathique ? Plainte ?
• La réaction à la douleur est un comportement appris par l’individu, elle est subjective et les études démontrent la difficulté des soignants à ne pas la sous-estimer. 
• Explorer les facteurs susceptibles d’aggraver ou de diminuer la douleur pour s’en servir comme leviers dans la prise en charge et de ne pas négliger la douleur liée aux soins.
• Pour « comprendre » la douleur de l’autre, les soignants disposent d’outils : anamnèse, observation, relation, information du patient.
• Les traitements pharmacologiques sont abordés de façon adaptée au public en vue de comprendre l’action du médicament pour mieux évaluer son action ou son échec.
• Les conséquences délétères des douleurs non soulagées sont mises en avant.
• Les outils pratiques de prise en charge de l’inconfort physique (asthénie, anorexie, déshydratation, dyspnée,…) sont développés en termes d’actions abordables par tous.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet et qui souhaite s’initier et/ou réfléchir à la mise en place d’un groupe de parole et comprendre la dynamique et les fonctionnements des groupes, les atouts et les limites d’une telle méthode.

• Réflexions sur la pratique des groupes de parole en tant qu’outil thérapeutique.
• Identifier le fonctionnement d’un groupe de parole.
• Analyser la dynamique des groupes.
• Apprendre à animer un groupe de parole.

• Analyser les processus de communication à l’œuvre au sein d’un groupe.
• Le travail préliminaire à la mise en place d’un groupe de parole.
• Réflexion autour du cadre thérapeutique soutenant les objectifs de celui-ci.
• Les conditions nécessaires pour faciliter une ambiance propice à la mise en mots des émotions.
• Les outils d’animation pour un groupe de parole réussi.
• Repérer et prévenir les situations problématiques au sein d’un espace de parole.

Pour être bienveillant envers les autres, il est indispensable de l’être aussi, voire surtout, avec soi-même. Pour ce faire, nous parcourrons les mécanismes de la bienveillance tout autant que ceux de la malveillance. Nous réfléchirons à ce qui nous semble être l’attitude bienveillante et ce qui nous apporte bien-être, réconfort, confiance en soi,… pour comprendre que le regard que chacun porte sur la bienveillance peut être différent.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne désireuse d’approfondir la connaissance de soi en se forgeant des outils de communication simples et efficaces pour re-entrer en comme-union avec Soi et les autres, et à se faire confiance mutuellement sans jugement.

• Donner du sens à sa pratique et vivre pleinement ses émotions dans un total respect mutuel.
• Appréhender différemment les soins en établissant une relation authentique et rassurante.
• Re-trouver la joie et la richesse du moment présent, exprimer sa sensibilité, dans le respect et le plaisir.
• Approfondir la connaissance de soi : se forger des outils de communication simples et efficaces pour re-entrer en comme-union avec Soi et les autres.
• Augmenter la cohésion d’équipe : cerner et développer les attitudes professionnelles adaptées dans un esprit de coopération pour un travail de qualité.

• Identification des représentations liées au travail d’équipe en institution et plus spécifiquement dans le service concerné : regard croisé.
• Définition et caractéristiques de l’équipe.
• Les conditions de travail d’équipe.
• Prise de conscience de l’utilité de la bienveillance et du prendre soin de soi dans l’Institution.
• Expérimentation des mécanismes visant à une meilleure communication, dédramatisation, renforcement de l’imaginaire et de la créativité.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet et qui désire être sensibilisée à l’utilisation de certaines Huiles Essentielles.

• Quelles Huiles Essentielles utiliser en Soins de Confort et comment ?
• Se familiariser avec la place des Huiles Essentielles. 
• Acquérir une base de connaissances sur les Huiles Essentielles, les précautions d’utilisation et les contre-indications.
• Connaître les principales activités et précautions des huiles essentielles généralement utilisées en Soins de Confort.
• Se familiariser avec des formules générales pour accompagner le patient.
• Personnaliser le soin en fonction des préférences olfactives du patient.
• Adapter les modes d’utilisation et les posologies selon le patient et l’usage recherché.

• De la plante aromatique à l’Huile Essentielle.
• Les différents critères de qualité.
• Les contre-indications et toxicité.
• Quelles sont les différentes voies d’administration ?
• Monographie des Huiles Essentielles et leurs formules.
• Leurs rôles sur le bien-être physique.
• L’utilisation pour le massage « olfactif et émotionnel ».
• Les principaux produits utilisés en aromathérapie.
• Les critères de qualité et de bonne conservation d’une Huile Essentielle.
• Les précautions, contre-indications et toxicité potentielles des Huiles Essentielles.
• Monographie des Huiles Essentielles en Soins de Confort et les principales familles biochimiques de leurs composés, leurs activités et les précautions d’utilisation.
• Les principales voies d’administration utilisées en soins de confort.
• Leurs actions sur quels symptômes (généraux ou spécifiques) en Soins de Confort ?
• L’utilisation des Huiles Essentielles pour le massage « olfactif et émotionnel ».
• Les Huiles Essentielles harmonisantes et équilibrantes émotionnellement.
• Les Huiles Essentielles du « lâcher-prise ».
• Huiles essentielles et spiritualité.
• L’accompagnement des proches.
• Exposés théoriques pour comprendre les mécanismes du burn-out et les pistes pour l’éviter.
• Exercices psychocorporels afin de donner au participant des outils concrets de gestion du stress.
• Exercices de réflexions de groupe afin d’élargir les points de vue et ne pas rester focaliser sur son propre regard.
• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques. 
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet à titre personnel et/ou professionnel.
• Pour toute personne qui souhaite s’engager dans un travail d’accompagnement et de développement de sa qualité de présence par le toucher.

• Acquérir un savoir être et un savoir-faire par la maîtrise de gestes de bien-être dans l’écoute de soi et de l’autre.
• S’initier à la communication par le toucher et des bienfaits d’un toucher attentif et bienveillant.
• Sensibiliser à la nécessité vitale que représente le toucher présent à tous les âges de la vie.
• Prendre conscience de notre rapport au toucher et de la façon dont notre corporalité intervient dans la relation à l’autre (et dans les soins).
• Acquérir des outils pour se centrer et ressentir sa stabilité intérieure.
• Favoriser la « juste proximité » et la bienveillance.

• Approcher la respiration et le sens du toucher.
• Expérimenter le toucher présent, le massage-minute et le massage détente des mains.
• Expérimenter le toucher-contact et les gestes de bien-être avec une personne alitée.
• Théorie : la communication non verbale, les distances et la distance intime, le toucher selon les cultures, le toucher comme besoin primaire.
• « On ne peut toucher autrui sans être touché soi-même » : les émotions, les mécanismes de protection et d’évitement, le respect de soi et de l’autre.
• Exercices de relaxation dynamique, de respiration consciente et de toucher relationnel.
• Le massage détente des mains et le massage-minute.
• Soin relationnel : le moulage du corps et les gestes de bien-être à l’attention d’une personne alitée.

• Exposés théoriques, échanges et partages des vécus et des expériences.
• Démonstration/expérimentation des exercices, seul et en binôme. 
• Alternance d’exercices et de moments consacrés à l’expression par chacun de son ressenti. La formation vise aussi à renouer avec ses sensations, à accueillir les émotions dans un cadre bienveillant. 

Il est demandé aux participants d’apporter :

• Une couverture,
• Un tapis de mousse.

Ce module répond aux besoins des travailleurs des secteurs concernés dans la mesure où il éclaire le public sur la nécessité de parler de la fin de vie avec le résident. Il permet de découvrir les outils existants et leurs utilités. Pour finir, il invite à réfléchir sur la manière dont chacun peut initier et/ou maintenir le dialogue avec le résident au sujet de sa fin de vie mais aussi prendre conscience de certains freins qui limitent ce dialogue. 

Public cible

• Cette journée est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par cette thématique, à titre professionnel ou personnel.
• Formation qui s’adresse prioritairement au personnel infirmier, paramédical, soignant, médical, social et de direction en MRS, ainsi qu’à toute personne intéressée par ce sujet et/ou en contact avec des patients en fin de vie et leur famille.

• Sortir du tabou de la mort. 
• Distinguer des notions telles que l’euthanasie, les soins palliatifs, le non acharnement,…
• Initier et maintenir le dialogue avec le résident au sujet de sa fin de vie.
• Prendre conscience de ses propres mécanismes de défense face aux questions de fin de vie   
• Faire connaissance avec les outils à disposition. 
• Faciliter leur mise en place. 

• Parler de la mort en Institution : sortir du tabou.
• Retour sur les lois énoncées en 2002 : sur les droits du patient, les soins palliatifs et l’euthanasie. 
• Présentation des 5 déclarations/directives anticipées.
• L’intérêt de ce cadre légal pour le résident, les familles et les soignants. 
• Prendre conscience de ses propres mécanismes de défense face aux questions de la fin de vie. 
• Les besoins psychologiques et spirituels du résident. 
• L’écoute et la place de la famille (ou proches). 
• L’écoute et la place des soignants dans ce contexte.
• L’écoute et l’accueil de la parole du résident.
• Où, quand, quoi, comment recenser la parole du résident ?
• Les outils à notre disposition. 
• Les freins et les leviers à propos de ce recueil.
• Activons ces leviers.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques.
• Mises en situation, exercices pratiques et présentation d’outils.

La fin de vie impacte à des degrés différents le patient, ses proches et les soignants. Le système et le fonctionnement familial sont bouleversés. La communication peut se complexifier et engendrer des malentendus entre les proches eux-mêmes et/ou avec les soignants.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet, à titre personnel et/ou professionnel et/ou en contact avec des patients en fin de vie et leur famille.

• Explorer les aspects subjectifs et/ou psychiques qui se jouent dans le cadre des soins palliatifs pour les patients, les familles et les soignants. 
• Analyser les dynamiques relationnelles qui sous-tendent cette période.
• Développer des compétences pour accueillir, comprendre et légitimer les émotions de chacun.
• Apprendre à ajuster sa communication dans une juste présence.

• Le vécu de la personne gravement malade : manifestation psycho-affective et ou comportements « inattendus ». Partage d’une boîte à outils pour y faire face.
• Le vécu des familles : souffrance psychologique et quelques-uns de ses différents modes d’expression. Accueillir au mieux cette souffrance spécifique.
• Le vécu des soignants : apprendre à se connaître pour mieux accompagner.
• Outils de communication améliorant ces différentes dynamiques relationnelles.