33 formations de SARAH asbl finançables via le projet FormAction

De nombreux malentendus dans les équipes de travail sont dus à une mauvaise communication, à un manque de communication ou d’écoute. Pourtant, dans le travail d’équipe, la communication est un outil tout à fait indispensable. Il est donc important de se préoccuper de cet outil, d’en prendre soin et de l’entretenir.

Ainsi, afin de faire fonctionner une équipe de manière optimale, il est nécessaire que les travailleurs puissent utiliser une communication et une écoute actives, réfléchies, constructives et bienveillantes. Fort heureusement, pour peu d’y prêter attention, chacun peut devenir « doué » en écoute et en communication. Ces compétences s’apprennent, s’affinent et s’entretiennent tout au long de notre vie.

Public cible

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet à titre personnel ou professionnel.
• Pour les professionnels de la santé qui désirent comprendre et améliorer leur communication au sein des équipes.

Objectifs

• Comprendre pourquoi une bonne communication permet à une équipe d’être plus efficace et de travailler en harmonie.
• Identifier ses propres modes de communication, qu’ils soient verbaux ou non verbaux.
• Faciliter les échanges dans une équipe de travail et retrouver de la fluidité.
• Repérer les besoins individuels et ceux de l’équipe.
• Remettre en question notre regard sur l’autre et sur la réalité qui nous entoure, de manière à adopter une communication plus fine et adéquate au regard des différents contextes.
• S’autoriser à être authentique dans son message tout en étant bienveillant dans la forme de ce dernier.
• Échanger autour de situations où la communication est difficile et réfléchir aux moyens de l’améliorer.

Contenu

• Identifier les moyens de communication utilisés dans les équipes, qu’ils soient efficaces ou à améliorer.
• Identifier les différents types de communication, de personnalité et leurs rôles dans l’équipe de travail.
• En quoi les besoins ont-ils une influence sur le mode de communication utilisé ?
• Identification des jeux psychologiques et comment en sortir ?
• Se respecter et respecter l’autre pour favoriser une communication efficace.
• La reformulation pour éviter les malentendus.
• L’équipe vue comme un système et ses rouages.
• Les sources de conflit en équipe.
• Comprendre comment allier authenticité, bienveillance et tact.
• Pouvoir distinguer les faits des interprétations et des sentiments.
• Réfléchir aux outils de communication écrite et à leur bonne utilisation au sein du milieu de travail.

Méthodologie

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage .
• Exercices de réflexions personnelles sur son propre mode de communication.
• Exercices de réflexions de groupe et d’échanges de pratiques autour de situations de communication.
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

En pratique 

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1044.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

En 1 journée (formation de 6h)

• L’Autolouange (ou Kasàlà) est une pratique ancestrale que l’on retrouve dans différentes traditions. Elle nous relie à nos potentiels et aux autres. Pendant cette journée, il sera proposé d’expérimenter la posture de l’Autolouange par une écriture simple et naturelle (aucun talent ni aucun prérequis ne sont nécessaires).
• L’Autolouange offre un arrêt sur soi, à un moment donné et nous révèle ce qui nous anime profondément et nous relie à notre commune humanité.
• Cette pratique prend notamment son sens dans l’accompagnement de publics fragilisés (personnes âgées, jeunes en difficultés,…). Elle intervient aujourd’hui de plus en plus dans des programmes de réinsertion sociale et/ou scolaire en France, en Belgique et au Québec.

Public cible

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne qui souhaite, à titre personnel ou professionnel, porter un autre regard sur ses réalités de vie personnelles et/ou professionnelles, sur soi et sur les autres.
• La visée du Kasàlà est de produire une énergie qui propulse celui qui écrit dans un champ plus large que l’égo, de guérir ce dont nous souffrons bien trop aujourd’hui : un manque d’estime de soi démobilisateur. Cette formation permet aux participants d’être dans la découverte de leur vrai visage, de leur juste parole, singulière, habitée de manière autonome, digne et responsable.

• Acquérir une meilleure connaissance de soi,
• Se positionner en tant que sujet de son histoire et reconnecter sa vitalité,
• Favoriser l’expression de soi et la confiance en soi,
• Sortir des modes relationnels basés sur la comparaison et la compétition et avancer sur la voie de la complémentarité et de la coopération,
• Approcher l’action transformatrice du Kasalà/Autolouange comme pratique de soi qui favorise l’installation d’une dynamique de changement individuelle et culturelle.

• Dès le départ, les participants sont mobilisés de manière à devenir acteurs à part entière de la formation. Ils sont invités à formuler leurs attentes, leurs besoins et avec le formateur, à co-construire les objectifs spécifiques. De plus, une attention particulière est accordée au vécu des participants. La formation ne requiert aucun prérequis en écriture ou en expression orale.  Il recevra la connaissance d’un nouvel outil qu’il pourra ensuite mettre à profit dans un contexte personnel et/ou professionnel.
• Les trois piliers de l’estime de soi : l’amour de soi, la vision de soi, la confiance en soi.
• Kasàlà/Autolouange : origines, concept (approches de J. Kabuta et de M. Milis).
• L’Autolouange : une posture, une école de présence, d’humilité et d’authenticité.
• Jouer le « Je » (sans entrer dans l’intime de sa biographie), un portrait de soi sans mensonge et sans modération : les trois consignes de l’Autolouange.
• Exercices de relaxation et de respiration consciente pour se centrer.
• Écriture de textes Autolouange à l’aide de différents supports. L’objectif pour chaque participant est de rédiger trois textes sur la journée.
• Proclamations : espace rituel de célébration et de révélation de soi.
• « Habiter sa parole » : infuser ou faire siens les mots qui révèlent l’être pour faire aboutir le processus de valorisation.
• Échanges et réajustement de la posture, selon les besoins, pour chaque participant avant de s’investir dans l’écriture d’un nouveau texte avec un autre support que le précédent.
• Choix d’une ou deux phrases par participant, retirées de ses Autolouanges comme vérité de soi vibrante (à l’écoute du corps et de son ressenti) et/ou comme intention de réalisation dans la vie au quotidien.
• Proclamations de ses phrases/intentions.

• Exposés,
• Échanges,
• Exercice de relaxation,
• Écriture,
• Proclamation de ses Autolouanges,
• Expérimentation de la pratique et de la posture de l’Autolouange (célébration de la personne dans sa noblesse et son mystère, renouer avec sa puissance propre),
• Réajustement de la posture selon une attention individuelle portée à chaque participant et à sa production (pour l’écriture comme pour la proclamation),
• Échanges et partage des vécus et d’expériences,
• Proclamations de ses intentions.

En pratique

Les travailleurs peuvent être démotivés suite à de nombreux facteurs. Que ce soit par un changement de responsable, d’organisation, la difficulté de leurs tâches, la non-reconnaissance des efforts fournis,… Il est essentiel et fondamental de retrouver le sens de ce qu’ils font, pourquoi ils le font, ceci les aidera à se sentir mieux et à retrouver leur motivation au quotidien.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à personne intéressée par le sujet.

• Identifier les différents types de besoins et les siens.
• Être capable de formuler ses besoins – Fixer ou demander des objectifs motivants.
• Définir le concept « motivation ».
• Identifier les facteurs de motivations (moteurs et freins).
• Repérer les éléments majeurs qui démotivent dans son activité professionnelle.
• Pratiquer une écoute motivante afin de soutenir et booster la motivation des uns et des autres.
• Communiquer adéquatement pour collaborer et gérer les conflits.

• Définition de la motivation : ses origines et de ce qui la guide.
• Analyse de ses propres besoins et compréhension des besoins des autres sur base du test SACRE.
• Idées et croyances erronées quant aux facteurs de motivation, que dit la littérature ?
• Pourquoi et comment perd-t-on sa motivation au travail ?
• Quels sont les éléments déclencheurs et comment y faire face ?
• La motivation et le stress : Des pistes concrètes pour mieux gérer son stress.
• Développer son sentiment d’efficacité personnel.
• Arrêter la procrastination, les excuses et le report de ses problèmes sur les autres.
• Les 8 commandements pour rester motivé(e).
• Comment donner du sens à son travail ?
• L’assertivité comme outil de collaboration pour gérer les conflits.
• Des feedbacks constructifs, recevoir et analyser une critique.
• Obtenir et formuler des objectifs motivants.

• Apports théoriques en support de la pratique afin de permettre la compréhension des mécanismes de Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques, mises en situation, exercices pratiques et présentation d’outils.

En 1 journée

Nous sommes tous, à titre personnel ou professionnel, soumis aux conflits. Le contexte professionnel rend souvent la gestion du conflit plus malaisée que dans la sphère privée. Par ailleurs, une mauvaise gestion des conflits ou le manque de communication par rapport à ceux-ci peuvent impacter négativement l’ambiance et le bien-être au travail, aboutissant parfois à de l’absentéisme ou à un turn-over importants.

Quel que soit le secteur, il est fondamental que chaque collaborateur d’une équipe puisse prendre la responsabilité d’adopter une attitude orientée vers la prévention des conflits, ainsi qu’une certaine hygiène de communication au quotidien. Aujourd’hui, les médias nous confrontent en permanence aux conflits et aux violences. Or, la bienveillance envers soi-même et les autres favorisent un climat de confiance et de construction positive.

Cette formation s’adresse à tout public, à toute personne intéressée par le sujet et confrontée aux conflits dans son environnement personnel et/ou professionnel et qui veut comprendre comment prévenir ou désamorcer les conflits dans le respect de soi-même et de l’autre.

• Comprendre comment les conflits simples, s’ils ne sont pas bien gérés, deviennent des conflits complexes et difficiles à résoudre.
• Faire comprendre que chacun est responsable de son attitude, de sortir des jeux psychologiques et d’adopter une communication et une écoute plus efficaces.
• Grâce aux exercices, aux échanges et réflexions, le participant sera amené à comprendre les mécanismes et principales causes du conflit. Ensuite, différentes pistes seront proposées de manière à lui permettre d’adopter une attitude orientée vers la prévention des conflits et leur résolution.

• La définition du conflit : exercices de groupe.
• Distinguer problème et conflit.
• Les différents types de conflits.
• La face cachée des conflits : que se cache-t-il derrière le conflit et les non-dits ?
• Les étapes de l’escalade du conflit : gradation de 9 paliers.
• Les positions de vie : responsabilité de chacun dans son attitude dans la relation.
• Les différentes attitudes face aux conflits.
• Les démarches de résolution des conflits : 6 étapes de la définition du problème à sa résolution.
• Le respect de soi et le respect des autres : les différentes personnalités et le type de communication appropriée.
• Pouvoir distinguer les faits des interprétations et sentiments.
• Les principes de base de la Communication Non-Violente : apprendre à s’exprimer dans le respect de soi-même et de l’autre.
• Les alliances et les antagonismes entre les membres de l’équipe.
• Introduction à la médiation : pouvoir intervenir pour amener un conflit vers sa résolution.
• Créer une cohésion d’équipe.
• Trucs et astuces pour prévenir les conflits dans les équipes.

En pratique

• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.
• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1072.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces

Les termes manipulateurs et pervers narcissique sont utilisés dans le vocabulaire courant de manière abusive et dès lors pas toujours à bon escient. Il s’agit de mettre les vraies définitions et symptômes sur des comportements en distinguant la manipulation ordinaire d’une manipulation dans le but de nuire à un collaborateur, à un proche,…

De la même manière, des collaborateurs vont mettre une étiquette de « pervers narcissique » à une personne qui se montre parfois juste exigeante. Cette formation permet aux participants de faire le point sur leurs connaissances concernant les symptômes et les comportements manipulateurs, et d’apprendre à prendre du recul pour mieux les contrecarrer. Cette formation rentre tout à fait dans le cadre d’une prévention des risques psychosociaux au travail. 

Public cible

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet à titre personnel ou professionnel. 
• Pour toute personne qui désire mieux comprendre les mécanismes de la manipulation et les différentes formes qu’elle peut revêtir dans la famille, le couple ou le milieu professionnel afin de s’en protéger, de la déjouer et de s’en libérer.
• Le thème abordé est un sujet récurrent et demandé régulièrement autant en entreprise que pour les organismes tels les CPAS, MR/MRS, hôpitaux,… Cette formation répond aux questionnements du personnel, à titre professionnel tout autant que privé.

• Identifier les différentes formes de manipulations et de la façon dont chacun y participe à des degrés divers dans la vie quotidienne.
• Différencier la notion de « manipulation perverse » et la distinguer des manipulations ordinaires.
• Analyser les mécanismes qui lient une victime à une personne perverse narcissique.
• Aborder des pistes d’actions pour contrecarrer les manipulations.
• Recevoir des éclairages sur les indices comportementaux pour aider à discerner la manipulation.
• Observer nos côté sombres qui nous font reconnaître un manipulateur ou un pervers narcissique injustement par le fait qu’il nous met en difficulté.

• Manipulation ordinaire et manipulation malveillante : les différents buts et diverses formes de manipulations et tactiques.
• Sensibiliser aux implications des comportements indésirables au travail et/ou au quotidien.
• Distinguer la manipulation des stratégies que nous employons tous pour arriver à nos fins que ce soit dans la sphère privée et/ou professionnelle.
• Identifier les indices comportementaux pour repérer la manipulation et la perversion narcissique.
• De la confusion à l’emprise, approche des diverses techniques utilisées par la personne perverse narcissique.
• Comprendre les comportements déviants.
• Analyser les caractéristiques ainsi que l’épuisement moral et psychique des victimes de pervers narcissiques au sein de la famille, dans le couple ou dans le milieu professionnel.
• Identifier les conséquences psychosomatiques qui peuvent déboucher sur des troubles du comportement.
• Se familiariser avec la loi relative au harcèlement moral au travail, les mesures et les recours.
• Approcher le deuil de la relation et de la communication idéales.
• Agir plutôt que réagir, pistes d’actions et outils pour déjouer la manipulation ou pour s’en libérer en prenant conscience de ses ressources.
• Découvrir les différents outils de communication pour repérer, prévenir et gérer les personnalités à risque : techniques d’écoute bienveillante avec neutralité, questionnements, recueil des faits…).

En pratique

• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.
• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1073.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet.
• Pour toute personne désireuse de mieux comprendre cette problématique et apprendre à mieux gérer son anxiété, son angoisse, ou celle de proches, à titre privé et/ou professionnel.

• Distinguer l’anxiété de l’angoisse.
• Élaborer des objectifs bien-être.
• Identifier les stratégies du cerveau qui génèrent l’anxiété et l’angoisse.
• Nos stratégies de pensée : Reprendre le contrôle de notre corps.
• Gérer nos émotions.
• Expérimenter la puissance de la programmation mentale.
• Découvrir l’importance de votre physiologie.

• Identifier ses croyances, la perception de son corps et de ses pensées sources d’anxiété et d’angoisse.
• S’approprier des outils pour traiter l’anxiété et l’angoisse et pouvoir accompagner les personnes vers un mieux-être.
• Apprendre à se fixer des objectifs « bien-être ».
• (Re)prendre contact avec son corps pour en reprendre le contrôle.
• Prendre conscience de l’aspect physiologique, mental, énergétique de l’anxiété et de l’angoisse.
• Sensibiliser à changer nos émotions négatives et à installer une émotion positive rapidement.
• Apprendre à gérer au mieux la montée d’une crise d’angoisse, stopper sa progression et anticiper sa venue pour l’éliminer au plus vite.
• Se familiariser avec des outils concrets pour s’aider en cas d’anxiété et/ou pour accompagner un patient en crise.
• Apprendre des outils puissants issus des neurosciences (test des neurotransmetteurs), de la Pleine Conscience, des relaxations neuro hypnotiques, des techniques psycho-énergétiques et dynamiques et de coaching.
• Repartir avec un plan d’action personnalisé pour faire face à sa propre anxiété et/ou pour accompagner des patients souffrant d’anxiété et d’angoisse.

En pratique

• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.
• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1086.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces

Le stress est inévitable. Il est toutefois possible d’augmenter notre capacité interne à faire face aux situations de stress, notamment grâce à une meilleure gestion de nos émotions et de nos pensées. Ce module s’adresse à toute personne qui décide de ne plus être victime du stress et souhaite apprendre des outils simples pour mieux gérer ses émotions et augmenter sa qualité de vie professionnelle et personnelle.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par la thématique.
• Pour tous ceux qui souhaitent améliorer leur gestion du stress afin d’éviter, autant que faire se peut, les dysfonctionnements psychosomatiques consécutifs à une mauvaise gestion du stress.

• Prendre du recul pour évaluer son niveau de stress.
• Identifier et reconnaître ses sources de stress.
• Analyser les mécanismes en jeu et mettre en place un plan d’intervention afin de diminuer les impacts négatifs du stress sur sa santé physique, psychologique et relationnelle.
• Comment, grâce aux prises de consciences et pistes proposées utiliser positivement l’énergie du stress.

• Comprendre le mécanisme du stress pour pouvoir le transformer en énergie positive.
• Appliquer les divers niveaux d’action pour apprendre à mieux gérer le stress : 

1. Identifier les mécanismes biologiques du stress et les niveaux d’intervention possibles.
2. Gérer les facteurs de stress externes (identifier les facteurs de stress professionnels et/ou personnels, réflexion sur les actions possibles, sur mes priorités, prévoir et organiser).
3. Augmenter ses capacités internes à gérer le stress.
4. Apprendre différentes techniques corporelles afin de maîtriser sa propre gestion du stress.

• Visualisations et ancrages positifs.
• Prise de conscience et application de ces diverses techniques qui permettront au participant d’identifier d’emblée toute situation de stress et de lui donner une réponse plus adaptée afin de limiter ainsi les effets négatifs du stress.

En pratique

• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.
• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1087.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces

Les personnes en état de burn-out sont de plus en plus fréquentes dans notre société. Que ce soit un burn-out professionnel, parental ou même scolaire, les personnes sont dans l’incapacité de travailler et de faire face à leur quotidien. Il s’en suit une longue période d’absence au travail et parfois des séquelles physiques et cognitives. Une connaissance des facteurs de risques, du mécanisme du burn-out et des leviers d’action est fondamentale pour l’éviter.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet et désireuse de comprendre ce qu’est le burn-out, d’en dépister les signes, de connaître le mécanisme de mise en place et d’acquérir différentes pistes afin de l’éviter.

• Analyser le mécanisme du burn-out et le reconnaître.
• Analyser le mécanisme de l’épuisement et le reconnaître.
• Dépister les signes précurseurs, tant physiques que psychologiques.
• Identifier les mesures à mettre en place pour le prévenir.
• Dépister les signes physiques et émotionnels du burn-out et la conséquence d’une gestion inadéquate du stress.
• Proposer une évaluation du niveau de stress à chaque participant et du risque de basculer dans le burn-out afin de le prévenir.

• Qu’est-ce que le burn-out ? Définition selon le conseil supérieur de la santé.
• Le syndrome général d’adaptation de Selye.
• Description de la mise en place du mécanisme du burn-out et des divers niveaux d’intervention afin de l’éviter.
• Liens entre le burn-out et les facteurs de stress personnel et professionnel.
• Apprendre à identifier les signaux précoces sur le plan physique, psychologique, cognitif et comportemental afin d’être vigilant dans sa vie personnelle et professionnelle.
• Échelles d’évaluation du burn-out.
• Pistes pour un diagnostic différentiel à établir par des spécialistes.
• Identifier les dépenses et les pertes d’énergie.
• Identifier les pressions internes et externes et qui sont à la source de stress.
• Analyse des facteurs de risques au niveau du travailleur, au niveau du travail et au niveau de la société.
• Analyse des facteurs de protection au niveau du travail, et au niveau du travailleur.
• Analyse pour chacun des participants de leurs facteurs ressources et de leurs facteurs de protection.
• Pistes pour augmenter les ressources et les capacités de protection personnelles par :

• Exposés théoriques pour comprendre les mécanismes du burn-out et les pistes pour l’éviter.
• Exercices psychocorporels afin de donner au participant des outils concrets de gestion du stress.
• Exercices de réflexions de groupe afin d’élargir les points de vue et ne pas rester focaliser sur son propre regard.
• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques. 
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

En 1 journée (formation de 6h)

La relation Soignant – Soigné est au cœur des pratiques professionnelles du secteur médico-psycho-social. Elle requiert de l’intervenant des capacités d’adaptation, de communication et de gestion des émotions lui permettant de s’ajuster, spécifiquement, à chaque nouveau bénéficiaire accompagné. L’aspect profondément humain de cette relation qui se tisse dans un contexte professionnel implique par moments des zones d’incertitude et une remise en question de l’intervenant à la recherche de l’attitude la plus adéquate pour lui et pour le bénéficiaire. Ce positionnement « juste » n’est jamais acquis une fois pour toutes, et la participation à des échanges, journées de formation continue,… est indispensable afin de permettre aux intervenants de revoir, conforter et/ou affiner leurs modes de communication avec les patients.

Cette formation s’adresse à tout le personnel soignant et à toute personne souhaitant comprendre ce qui se joue psychologiquement dans le cadre de la relation entre les soignants et les soignés/résidents ainsi que leurs proches et prévenir les débordements affectifs ou relationnels ainsi que les conséquences somatiques ou neurologiques.

• Acquérir les attitudes facilitantes et activantes pour une relation de qualité et un dialogue constructif avec les malades et leurs familles.
• Surmonter les obstacles à l’écoute dans la communication avec les malades et leurs familles.
• Établir une stratégie et déterminer les limites dans l’écoute du soignant face à des comportements difficiles à gérer (anxiété, dépression, révolte, agressivité,…).
• Mettre en évidence les effets bénéfiques d’une bonne écoute sur la qualité de la personne soignée (cohérence, protection, déontologie, objectifs, missions,…).

• Définir les concepts tels que : relation, écoute, deuil, vieillissement,…
• Identifier le vécu psychologique et les émotions du patient/bénéficiaire, de sa famille et du soignant.
• Déterminer les besoins du patient, de sa famille et du soignant.
• Pouvoir différencier besoin et désir.
• Comprendre les processus engendrant les différentes attitudes des proches au sein du service de soins.
• Aborder « le tabou » qui entoure la maladie ou certaines questions importantes relatives au patient.
• Comprendre le fonctionnement des mécanismes de défense au cœur de la relation Soignant-Soigné.
• Apprendre différentes techniques de communication.
• Reconnaître sa place dans la relation Soignant – Soigné.
• Être attentif aux éventuels jeux psychologiques pouvant mettre la relation à mal.
• Comprendre la notion d’alliance thérapeutique et les moyens de la favoriser.
• Pouvoir prendre soin de soi en tant que soignant.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

En pratique

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1117.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet à titre personnel et/ou professionnel.
• Pour toute personne qui souhaite s’engager dans un travail d’accompagnement et de développement de sa qualité de présence par le toucher.

• Acquérir un savoir être et un savoir-faire par la maîtrise de gestes de bien-être dans l’écoute de soi et de l’autre.
• S’initier à la communication par le toucher et des bienfaits d’un toucher attentif et bienveillant.
• Sensibiliser à la nécessité vitale que représente le toucher présent à tous les âges de la vie.
• Prendre conscience de notre rapport au toucher et de la façon dont notre corporalité intervient dans la relation à l’autre (et dans les soins).
• Acquérir des outils pour se centrer et ressentir sa stabilité intérieure.
• Favoriser la « juste proximité » et la bienveillance.

• Approcher la respiration et le sens du toucher.
• Expérimenter le toucher présent, le massage-minute et le massage détente des mains.
• Expérimenter le toucher-contact et les gestes de bien-être avec une personne alitée.
• Théorie : la communication non verbale, les distances et la distance intime, le toucher selon les cultures, le toucher comme besoin primaire.
• « On ne peut toucher autrui sans être touché soi-même » : les émotions, les mécanismes de protection et d’évitement, le respect de soi et de l’autre.
• Exercices de relaxation dynamique, de respiration consciente et de toucher relationnel.
• Le massage détente des mains et le massage-minute.
• Soin relationnel : le moulage du corps et les gestes de bien-être à l’attention d’une personne alitée.

• Exposés théoriques, échanges et partages des vécus et des expériences.
• Démonstration/expérimentation des exercices, seul et en binôme. 
• Alternance d’exercices et de moments consacrés à l’expression par chacun de son ressenti. La formation vise aussi à renouer avec ses sensations, à accueillir les émotions dans un cadre bienveillant. 

Il est demandé aux participants d’apporter :

• Une couverture,
• Un tapis de mousse.

Dans toute situation de travail dans la relation d’aide, la capacité d’écoute de soi et de l’autre est la base d’une bonne relation. Les compétences d’écoute améliorent la qualité des relations, permettent de résoudre certains conflits et de créer des rapports de confiance avec l’autre.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet et qui souhaite acquérir des outils d’écoute en vue d’améliorer soit ses relations au travail soit sa manière de mener un entretien d’aide et/ou son écoute de façon générale.

• Améliorer ses capacités d’écoute, d’attention et de compréhension du fonctionnement humain.
• Acquérir différentes techniques d’écoute.
• S’entrainer à écouter.
• Développer son savoir « être ».
• Entendre efficacement et dans le confort le vécu de l’autre.
• Utiliser les différents savoirs pour créer une alliance avec la personne au cours d’un entretien individuel et être sensibilisé à l’écoute corporelle.

• Définition de l’écoute.
• Différencier écouter et entendre.
• Les cinq impératifs pour être dans une écoute efficace.
• Les principales techniques d’écoute.
• Les différents filtres à l’écoute.
• Les différents barrages à la communication.
• Les pièges et obstacles.
• La place de l’écoute dans la relation d’aide en général et dans l’entretien d’aide en particulier.
• Les attitudes fondamentales dans la relation d’aide.
• La gestion des silences.
• Apprendre à décoder le langage non-verbal : codes, signes à dépister, signes à clarifier.
• Apprendre à construire une alliance avec la personne en difficulté.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques. 
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

En pratique 

• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.
• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1119.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces

Il y a presque toujours une bonne raison qui pousse une personne à un comportement agressif. Il fait d’ailleurs partie du développement de l’être humain. Pour éviter le piège de l’escalade, il existe des techniques de communication efficaces. Qu’il s’agisse de méthodes de coaching, de médiation ou encore de gestion de conflits, tous les moyens sont bons pour sortir du piège dans lequel un comportement « difficile » nous enferme parfois.

Certaines formes de communication peuvent s’avérer suffisantes si on les associe à un état d’esprit, une attitude, un non-verbal congruent. Ces différentes méthodologies ne résolvent pas toutes les situations mais permettent de les clarifier, d’en décoder la problématique et de proposer des pistes d’amélioration à plus long terme.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne qui souhaite mieux comprendre comment, sans intention négative, une situation ou un comportement apparemment banal peut amener à un comportement agressif.
• Pour toute personne souhaitant déjouer l’agressivité et orienter l’échange vers une relation positive et collaborative.

• Identifier les différentes phases du développement des comportements agressifs dans la construction de la personnalité.
• Identifier les comportements agressifs et les types de personnalité pour adapter sa communication.
• Analyser l’impact des différentes attitudes sur l’agressivité et le conflit.
• Prévenir l’agressivité et l’orienter vers une relation positive.
• Oser parler autrement de ses sentiments et de ses ressentis.
• Utiliser son intelligence émotionnelle.
• Le fonctionnement d’une équipe de travail : de la dépendance à l’autonomie.
• Aborder l’agressivité dans les équipes de travail.

• Qu’est-ce que l’agressivité ?
• Test des comportements.
• La communication conflictuelle : 3 comportements.
• Manipulation, fuite, agressivité.
• Le comportement affirmé : L’assertivité.
• Les émotions.
• La spirale des besoins non satisfaits.
• Les besoins.
• Les jeux psychologiques.
• Répondre aux critiques.
• Apprendre à dire non.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

Nombreuses sont les situations de vie qui provoquent un traumatisme : pertes multiples, maladie, perte d’autonomie, séparations, décès d’un proche,… Les travailleurs sont régulièrement confrontés aux deuils que ce soit à titre personnel ou parce qu’ils sont touchés par ceux des personnes qui les entourent. Le deuil fait partie du processus de vie. Le comprendre et développer ses compétences pour soutenir ces traversées de vie est utile autant dans sa vie personnelle que professionnelle.

Les proches (collègues, membres de la famille, amis, collaborateurs,…) se sentent souvent démunis face à la souffrance de l’autre. Celle-ci peut être la conséquence de tant de deuils différents (divorce, déménagement, conflit familial, réorientation professionnelle, maladie, décès d’un proche,…) et générer des réactions diverses quelle qu’en soit la cause.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet, à titre personnel ou professionnel.
• Destinée à ceux et celles qui souhaitent être à l’écoute des deuils et pertes vécus dans leur quotidien personnel et/ou professionnel ou ceux vécus par l’entourage, les proches, la famille,…

• Développer de bonnes attitudes.
• Que dire et ne pas dire ?
• Quels sont les signaux à identifier afin d’éviter un deuil compliqué ou pathologique ?
• Quand faire appel à une aide extérieure ?
• Comment aider la personne à parler de son traumatisme ?
• Comment accompagner la personne en souffrance pour l’aider à franchir les différentes étapes du deuil pour retrouver son énergie vitale, rebondir et se réorganiser dans la vie.
• Développer à la fois un savoir-faire, un savoir être et une vraie écoute qui soutiennent l’autre sur son propre chemin de deuil.

• Définir des concepts tels que le trauma, le deuil, les pertes, les frustrations.
• Présenter des grilles de lecture et d’analyse du processus de deuil.
• Expliquer les outils d’intervention aux différents stades d’évolution du processus de deuil.
• Comprendre l’interaction entre le deuil, la gestion du stress et la santé.
• Reconnaître les signaux comportementaux liés à un traumatisme ou à un deuil et leur influence sur l’entourage.
• Reconnaître et apprendre à traverser les émotions liées au deuil.
• Analyser le fonctionnement de notre système émotionnel.
• Identifier les différents types de dysfonctionnement de notre système émotionnel.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques. 
• Mises en situation et exercices pratiques et présentation d’outils.

Les pertes, les séparations et les deuils sont des expériences difficiles et douloureuses que tout être humain est amené à traverser, un jour, dans sa vie. Nous savons que la reconnaissance de la souffrance et des émotions qui l’accompagnent est le premier pas vers la reconstruction. L’enfant « endeuillé » est trop souvent de nos jours, laissé à lui-même, écarté des rituels de deuil, dans le but de lui épargner un vécu jugé trop pénible.

Cette attitude risque de laisser des traces et de compliquer les deuils à l’âge adulte. Comment accompagner ces enfants en fonction de leur âge, que faire ou ne pas faire, que dire et ne pas dire, comment comprendre leur comportement et répondre à leurs questionnements afin de les aider à intégrer l’expérience de la perte dans leur chemin de vie et de croissance.

• Cette formation est ouverte à tout public.
• Elle s’adresse à toute personne en lien avec les enfants (soignants, éducateurs, professeurs tout autant que les parents et les proches,…).

• Différencier les deuils liés aux décès ou aux diverses pertes auxquelles un enfant est confronté (déménagement, divorce des parents, changement d’école, perte d’un animal,…).
• Comprendre la perception de la mort chez l’enfant aux divers stades de son développement et adapter son accompagnement.
• Appréhender l’impact d’une perte significative sur le développement de l’identité de l’enfant et ses choix scénaristiques.
• Repérer les comportements particuliers des enfants en situation de perte (perte d’un être cher, séparation, changements de vie des parents, frustrations,…) et pouvoir adopter des attitudes aidantes.
• Accompagner l’expression émotionnelle des enfants endeuillés (peur, colère, tristesse, colère, honte).

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Alternance d’exposés théoriques et réflexions personnelles individuelles et en petits groupes.
• Vision d’un film montrant différentes attitudes d’enfants confrontés à différents deuils.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Examen de différents outils (livres, cahiers de deuil,…).
• Échanges, partages des vécues et expériences issues de la pratique du formateur et des participants.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1144.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

En 1 journée (formation de 6h)

Les situations complexes en fin de vie sont nombreuses et les soignants sont peu armés pour y faire face. Les sentiments et émotions prennent souvent le dessus sur la réflexion, les équipes sont malmenées et les conflits peuvent éclater à différents niveaux. Cette formation permet de faire connaissance avec l’éthique « au chevet du patient », loin des grandes théories mais en adéquation avec les besoins des acteurs de terrain.

Apprendre à décrire une situation, tenir compte du contexte qu’il soit législatif, institutionnel ou personnel, se servir d’outils pour analyser avec un maximum d’objectivité (travailler en interaction avec des collègues), permet d’arriver à une décision plus équilibrée pour tous.

Cette formation s’adresse à tous les soignants, quel que soit leur rôle, et volontaires en contact avec des patients en fin de vie.

• Expérimenter des outils pour identifier les problèmes éthiques, les distinguer de tout ce qui est déjà encadré par les lois (par exemple, les niveaux de responsabilité).
• Quels sont les cadres législatifs encadrant la fin de vie ?
• Découvrir où aller chercher les informations utiles ou indispensables à la prise de décision.
• Quelles sont les multiples prises de décision possibles, les nommer correctement et définir quel est déjà leur niveau d’encadrement. Celui-ci laisse-t-il une marge de manœuvre ou pas ?
• En cas de situation « éthique » : exercice d’un outil d’aide à la prise de décision.

• Définitions de base : loi, droit, déontologie, morale, éthique,…, niveau national et international.
• Présentation d’un outil d’identification d’un problème éthique (les niveaux de responsabilité) : illustration de l’outil et exercices.
• Analyse des cadres législatifs et autres déjà présents en Belgique (loi des droits des patients, loi sur les Soins Palliatifs, sur l’euthanasie, conventions internationales, avis du comité Consultatif de Bioéthique) et leurs relations avec la fin de vie.
• Analyse des cadres déjà disponibles pour que le patient puisse s’exprimer : déclaration anticipées, PSPA (Projet de Soins Personnalisé et Anticipé), procuration de soins (outils et exercices).
• Définir l’éthique clinique, les valeurs éthiques, la difficulté de respecter plusieurs valeurs au sein d’une même situation.
• Identifier quelles sont toutes les décisions correctes ou erronées que des soignants, seuls, en équipe ou avec la famille, sont susceptibles de rencontrer dans leur profession. (DNR, alimentation ou non, hydratation ou non, acharnement, abandon,…).
• Présentation d’un outil d’aide à la décision éthique (H Doucet) et exercice.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

Ce module répond aux besoins des travailleurs et à ceux de toute personne à titre privé, dans la mesure où il éclaire le public sur ce qu’est un projet de soins personnalisé et anticipé, son utilité et invite à réfléchir de quelle manière le mettre en place ou l’articuler au sein de l’institution.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet à titre personnel ou professionnel par le respect de ces/ses décisions concernant la vie de vie.
• Pour les professionnels : infirmiers, aides-soignants, psychologues, assistants sociaux, aides-familiales, les volontaires,…

• Présentation du « PSPA » : Projet de Soins Personnalisé et Anticipé.
• Analyser les différentes déclarations/directives anticipées en Belgique.
• Distinguer des notions telles que l’euthanasie, les soins palliatifs, le non acharnement,…
• Comment initier et maintenir le dialogue avec le résident au sujet de sa fin de vie.
• Identifier ses propres mécanismes de défense face aux questions de la fin de vie.
• Faire connaissance avec les outils à disposition.
• Faciliter leur mise en place.

• Présentation du cadre légal en Belgique et retour sur les lois de 2002 qui constituent le cadre du PSPA (droits du patient, les soins palliatifs et l’euthanasie).
• Présentation des 5 déclarations / directives anticipées.
• L’intérêt de ce cadre pour le résident, les familles et les soignants ou toute personne concernée.
• Prendre conscience de ses propres mécanismes de défense face aux questions de la fin de vie.
• L’écoute de la famille (ou proche) et celle des soignants dans ce contexte.
• L’écoute et l’accueil de la parole du résident ou de la personne concernée.
• Replacer cette personne au cœur des décisions quant à ses soins et souhaits de fin de vie.
• De quels outils disposons-nous ? Exemple carnet de vie.
• Les freins et les leviers à propos de ce recueil – Activons les leviers.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques, mises en situation, exercices pratiques et présentation d’outils.

• Les travailleurs, qu’ils soient éducateurs, paramédicaux, assistants sociaux, psychologues, formateurs, animateurs,… accompagnent dans leur quotidien professionnel un public de bénéficiaires rencontrant différents types de problèmes/difficultés, de maladies, d’invalidités et/ou de handicap.
• Certains travailleurs sont tenus au secret professionnel qu’ils se doivent de respecter en tant que « confidents nécessaires », vis-à-vis du bénéficiaire « maître du secret » qui se confie à eux. Le respect du secret concerne à priori tout tiers extérieur à cette relation duelle. Cependant, dans le cadre du travail en équipe et en réseau nécessitant une collaboration entre professionnels au bénéfice de l’usager, se pose la question du partage de ce secret. La circulation des éléments confiés, leur transmission, voire leur partage nécessaire est soumise à une réglementation déontologique stricte.
• Cette formation permettra aux participants de connaître les tenants et aboutissants du secret professionnel, de son éventuel partage, d’en apprivoiser les usages, les exceptions, sans éluder les questions éthiques que cela pose parfois.

• Cette formation s’adresse à tout professionnel qui, dans l’exercice de sa profession, se doit de respecter le secret professionnel et de le partager dans certaines circonstances afin de contribuer à une plus-value dans la qualité de l’accompagnement et de l’atteinte des objectifs dans l’intérêt supérieur du bénéficiaire.
• À toute personne travaillant en équipe et soumise à la loi et à la déontologie.

• Acquérir la connaissance des textes légaux déontologiques définissant le secret professionnel.
• Évaluer les conséquences en cas de transgression.
• Identifier les situations d’exception autorisant la levée du secret.
• Examiner les conditions de son partage.
• Différencier le secret professionnel du devoir de réserve ou de discrétion.
• Développer une manière d’intégrer les aspects déontologiques ou de les dépasser avec le questionnement éthique au sein de sa pratique professionnelle.

• Définition du secret professionnel.
• Fondements légitimes et valeurs sous-jacentes au secret professionnel.
• La loi relative au secret professionnel : article 458 du code pénal.
• Les exceptions légales au principe du secret professionnel : témoignage en justice.
• Limitation au principe du secret professionnel : l’état de nécessité.
• Éléments constitutifs de l’infraction et sanctions.
• Responsabilité pénale, civile et disciplinaire.
• Secret professionnel et devoir de discrétion : quelle différence ?
• Les balises du secret professionnel partagé : entre la possibilité et la nécessité
• Quelle plus-value pour le bénéficiaire ?
• Partage du secret au sein de l’équipe et/ou avec d’autres intervenants et services.
• Adaptation de la transmission des informations dans le cadre du partage du secret professionnel.
• Les limites de la déontologie : situations pour lesquelles son application stricte en ce qui concerne le secret professionnel est insatisfaisante. De la nécessité d’un questionnement éthique et d’une réflexion collégiale, basées sur les principes de précaution, de proportionnalité et de subsidiarité.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1152.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

Toute personne amenée à vivre ou travailler au contact d’enfants se trouve tôt ou tard confrontée à la question de l’accueil des émotions. Ainsi, colère, tristesse, anxiété, agressivité, jalousie et autres émotions jalonnent le parcours développemental de l’enfant et l’intensité de ces manifestations peut souvent dérouter les adultes.

En outre, la structuration cérébrale toute particulière des enfants au niveau émotionnel requiert des professionnels le déploiement de compétences spécifiques leur permettant d’assurer un accueil bienveillant et efficace de ces manifestations.

Cette formation est ouverte à tout public, à tout parent, grand-parent, puériculteur, accueillant, éducateur, infirmier, assistant social ou intervenant en relation d’aide avec les enfants de 0 à 12 ans.

• Comprendre le rôle des émotions, leur utilité d’un point de vue psychosomatique et l’importance de les laisser s’exprimer.
• Comprendre l’origine biologique des émotions et le lien qu’elles permettent d’établir entre le psychisme et le corps de l’enfant.
• Appréhender le fonctionnement du cerveau de l’enfant et la manière dont l’adulte peut l’aider à apprendre à gérer ses émotions au quotidien.
• Utiliser des outils pour accueillir avec bienveillance toute émotion et aider l’enfant à l’exprimer de manière adéquate.
• Rester zen : trucs et astuces pour gérer ses émotions face aux émotions de l’enfant.

• Définir le rôle des différentes émotions et les besoins qui y sont associés.
• Pouvoir différencier un besoin d’un désir.
• Comprendre pourquoi l’émotion d’un enfant s’exprime parfois sous la forme d’une « crise ».
• Accueillir son émotion en y mettant une signification et des limites contenantes et sécurisantes.
• Les différentes phases d’une émotion et focus particulier sur la colère et la peur.
• Qu’est-ce que l’intelligence émotionnelle.
• Repérer les signaux de souffrance ou de difficultés développementales chez l’enfant.
• Difficultés et atouts de l’enfant qui a « du caractère ».
• Qu’est-ce que l’hypersensibilité et comment se manifeste-t-elle chez l’enfant ?
• Outils concrets pour aider les enfants à développer leur conscience émotionnelle et leur empathie.
• Trucs et astuces pour les adultes afin d’éviter les débordements et pour rester calme.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques, mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.
• Échanges, partages des vécues et expériences issues de la pratique du formateur et des participants.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1184.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

Aujourd’hui, les travailleurs impliqués dans l’aide sociale et les soins de santé sont de plus en plus souvent interpellés par des familles confrontées au problème du harcèlement scolaire (que leur enfant en soit la victime, le témoin ou l’instigateur). Ce phénomène génère une forte charge émotive chez tous les protagonistes concernés, notamment au regard des faits divers tragiques qui nous sont régulièrement relatés par les médias.

Les écoles peinent encore actuellement à endiguer ces agressions qui se déroulent parfois en parallèle sur les réseaux sociaux. Quelle(s) réponse(s), piste(s) de solutions pouvons-nous proposer aux enseignants, parents ou enfants qui s’adressent à nous ? Quelles compétences pouvons-nous les aider à acquérir, dans une optique de prévention et/ou de résolution la plus rapide possible des problèmes rencontrés ? Toutes ces questions seront le sujet de cette formation.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne désireuse d’en apprendre davantage sur le harcèlement scolaire et d’obtenir des outils de prévention à utiliser avec les enfants dès l’enseignement maternel (parent, instituteur, professeur, éducateur, assistant social, psychologue, directeur d’école,…).

• Définir le harcèlement scolaire et comprendre ses mécanismes.
• Comprendre les notions de climat scolaire, d’empathie, de compétences sociales,… qui, si on en prend soin, deviennent des outils de prévention du harcèlement scolaire.
• Prendre connaissance d’outils visant à prévenir ce phénomène ou à y réagir adéquatement, selon la tranche d’âge des enfants concernés.
• Comment soutenir les parents dans leur rôle auprès de leur enfant confronté à la problématique du harcèlement (qu’il soit victime, témoin ou instigateur).
• Développer l’adaptation de ces outils ou à la création de nouveaux dans sa propre pratique professionnelle et/ou dans sa vie familiale.

• Définition de la notion de harcèlement scolaire.
• Que dit la loi ?
• Que nous apprennent les neurosciences ? Développement du cerveau émotionnel de l’enfant et de ses compétences sociales
• La notion d’empathie et son apprentissage au fur et à mesure du développement de l’enfant.
• Le travail d’empathie via les notions d’émotions et de besoins (outils concrets).
• Apprendre à se défendre, à se faire respecter, et si ça commençait,… ?
• L’importance de ce qui se joue dans la cour de récréation et de ce qu’on en fait (outil concret).
• Victime, instigateur, témoin,… 3 positions co-dépendantes qui méritent toute notre attention.
• Les phénomènes de groupe.
• L’importance de parler du harcèlement aux enfants : installer un système d’alarme à la maison/école.
• Être un enfant, c’est apprendre le monde… et aussi le smartphone, l’ordinateur, la télé et les jeux vidéo. Vigilance et apprentissage des bons usages.
• Des dangers d’avoir plein « d’amis »… et d’offrir les clés de sa vie aux autres.
• Le rôle de l’attitude valorisante des adultes.
• Les points forts, les faiblesses,… Tout le monde en a. Et si on en parlait ?
• Une réflexion autour des réactions efficientes pouvant et/ou devant être adoptées par l’adulte confronté à une problématique de harcèlement scolaire dans son milieu professionnel et/ou familial.
• Les réactions à éviter.
• Nous avons tous un rôle à jouer, une responsabilité à prendre.
• Boîte à outils petite enfance.
• Boîte à outils enseignement primaire.
• Boîte à outils adolescents.

• Apports théoriques et exercices.
• Exercices de réflexion personnels sur sa propre expérience du harcèlement scolaire, dans la vie privée et/ou professionnelle.
• Exercices de réflexion de groupe et d’échange de pratiques autour des situations rencontrées sur le terrain : qu’est-ce qui fonctionne ? Quels sont les freins ? Qu’est-ce qui a déjà été essayé, avec et sans succès ? Que peut-on mettre en place de différent ? Que peut-on inventer ?
• Présentation d’outils concrets.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1185.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

Cette formation s’adresse aux travailleurs sociaux des institutions filiales de la DGAS et à toute personne qui souhaite acquérir des outils de transformation qui ont fait leurs preuves pour améliorer ses compétences relationnelles, émotionnelles et décisionnelles.

• Comprendre l’usage des réseaux chez les jeunes.
• Comprendre la place d’internet dans notre société.
• Sensibiliser l’entourage et le jeune à l’usage d’internet sans banaliser ou diaboliser.
• Accompagner le jeune, l’intervenant, l’entourage face à l’usage d’Internet.
• Comprendre internet comme facteur d’insertion sociale.
• Distinguer banalisation et diabolisation. 
• Construire un dialogue/une action pédagogique autour de l’usage d’Internet.
• Réglementer l’usage d’Internet.
• Comprendre les opportunités d’Internet.
• Analyser comment détecter le cyber harcèlement et s’en protéger.

• L’usage numérique chez les enfants et les adolescents.
• Des ressources et des outils pour sensibiliser les jeunes aux risques d’Internet. 
• Comprendre l’usage des réseaux chez les jeunes.
• Informations pratiques.
• Analyse de médias.
• Quelles sont les préventions et les stratégies à mettre en place pour contrer le cyber harcèlement ?

• Apport théorique.
• Analyse de médias.
• Échange de bonnes pratiques.
• Mises en situation.
• Jeux de rôle.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1186.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

À tout âge, l’être humain a besoin de partager des émotions, des sentiments. La personne âgée n’y échappe pas et revendique de plus en plus ouvertement l’accès à une vie affective et sexuelle indispensable à son équilibre. Il n’est pas toujours simple pour les proches et les travailleurs de reconnaître et soutenir ce besoin d’intimité. 

Le regard, souvent réticent, que porte la société n’encourage pas à leur expression spontanée. D’autre part, l’entrée en institution de la personne âgée s’accompagne souvent de contraintes et adaptations diverses qui font passer au second plan cette dimension émotionnelle. La formation propose d’ouvrir la parole sur cette thématique avec respect et bienveillance.

Formation ouverte à tout public qui s’adresse à toute personne intéressée par le sujet à titre personnel et/ou professionnel, et qui désire prendre en compte la qualité de sa communication et de sa relation à la personne âgée ainsi que sa dimension affective et sexuelle.

• Être capable d’expliquer l’évolution de la dimension affective et sexuelle chez la personne âgée (sur les plans physiologique et affectif).
• Analyser nos réactions, mécanismes de défense et tabous face à la vie affective.
• Dédramatiser, déstigmatiser les pulsions sexuelles de la personne âgée.
• Élaborer la manière de réagir face à leurs comportements, besoins et frustrations.

• La dimension affective et le vieillissement sexuel chez la personne âgée sont abordés sur les plans anatomo-physiologique et psychologique en distinguant les particularités de l’homme et de la femme.
• Une attention particulière est également réservée à l’exploration de notre contexte culturel en matière de sexualité ainsi qu’au regard de la loi concernant le droit au respect et à la protection du bien-être physique, sexuel, psychologique et émotionnel de la personne âgée.
• Les réactions de la famille, des résidents entre eux et des professionnels seront explorées ainsi que la manière la plus adroite d’apporter une réponse lorsque surgissent d’éventuelles difficultés : que dire à la famille qui n’accepte pas l’expression de gestes tendres de leur parent avec un autre résident ? Comment gérer l’inconfort des résidents face à des rapprochements un peu trop « expressifs » ou directs ? Que faire si au sein de l’équipe, les points de vue et les conceptions divergent ?…

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques, mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils, échanges, partages des vécues et expériences issues de la pratique de chacun.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1199.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

Les travailleurs peuvent être confrontés à des personnes dépendantes et cette dépendance peut mettre à mal leur fonction.  Cette formation a pour objectif de questionner et dépasser des idées reçues pour mieux comprendre le processus de dépendance et cela que ce soit à titre personnel ou professionnel. Cette formation permet de mieux appréhender les situations de consommation et de renforcer les compétences professionnelles ou personnelles et la réactivité face à des comportements de dépendance.  

Mutualiser les ressources au sein d’équipes pluridisciplinaires et développer des partenariats pour favoriser la compréhension de ces situations à risques. Cette formation permettra aussi de mettre à jour les connaissances sur les phénomènes de consommation d’alcool, tabac, cannabis, réseaux sociaux, internet, GSM, jeux-vidéos mais aussi de découvrir des stratégies de détection, d’analyse et d’intervention possibles avec le public cible.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet.
• Pour ceux et celles qui côtoient ou travaillent avec des personnes dépendantes et/ou qui désirent comprendre la notion de dépendance.

• Insérer cette réflexion dans sa pratique professionnelle ou son parcours de vie.
• Mettre à jour ses connaissances relatives aux assuétudes : alcool, cannabis, tabac, autres substances illicites ainsi que de nouvelles formes de dépendance comme les réseaux sociaux, internet, le jeu,…
• Identifier les signes typiques et atypiques auxquels il faut être attentif pour détecter une éventuelle difficulté par rapport aux assuétudes.
• Se questionner et dépasser les préjugés qu’on peut avoir sur les produits et leurs usages afin de mieux comprendre les situations liées aux consommations.
• Aborder le sujet de la détention et l’usage de produits dans une perspective globale, centrée sur la personne et sur son développement et son parcours de vie.
• Apprendre à mettre des limites dans sa pratique et à travailler sa place au sein d’une équipe pluridisciplinaire au regard de situations de consommation.

• Une approche théorique de la dépendance (cannabis, alcool, jeu pathologique, réseaux sociaux,…).
• Les différents signes de la consommation/dépendance.
• Les pistes d’intervention.
• La notion de plaisir.
• Les effets des substances sur le cerveau.
• Les notions de cadre, limite, cohérence et celles d’usage, abus et dépendance.
• L’apport du virtuel dans les dépendances.
• Réflexions autour du rôle des réseaux sociaux.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.
• Jeux de rôles.
• Utilisation de médias pédagogiques.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1218.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

Ce module répond aux besoins des travailleurs des secteurs concernés dans la mesure où il éclaire le public sur la nécessité de parler de la fin de vie avec le résident. Il permet de découvrir les outils existants et leurs utilités. Pour finir, il invite à réfléchir sur la manière dont chacun peut initier et/ou maintenir le dialogue avec le résident au sujet de sa fin de vie mais aussi prendre conscience de certains freins qui limitent ce dialogue. 

Public cible

• Cette journée est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par cette thématique, à titre professionnel ou personnel.
• Formation qui s’adresse prioritairement au personnel infirmier, paramédical, soignant, médical, social et de direction en MRS, ainsi qu’à toute personne intéressée par ce sujet et/ou en contact avec des patients en fin de vie et leur famille.

• Sortir du tabou de la mort. 
• Distinguer des notions telles que l’euthanasie, les soins palliatifs, le non acharnement…
• Initier et maintenir le dialogue avec le résident au sujet de sa fin de vie.
• Prendre conscience de ses propres mécanismes de défense face aux questions de fin de vie   
• Faire connaissance avec les outils à disposition. 
• Faciliter leur mise en place. 

• Parler de la mort en institution : Sortir du tabou.
• Retour sur les lois énoncées en 2002 : sur les droits du patient, les soins palliatifs et l’euthanasie. 
• Présentation des 5 déclarations/directives anticipées.
• L’intérêt de ce cadre légal pour le résident, les familles et les soignants. 
• Prendre conscience de ses propres mécanismes de défense face aux questions de la fin de vie. 
• Les besoins psychologiques et spirituels du résident. 
• L’écoute et la place de la famille (ou proches). 
• L’écoute et la place des soignants dans ce contexte.
• L’écoute et l’accueil de la parole du résident.
• Où, quand, quoi, comment recenser la parole du résident ?
• Les outils à notre disposition. 
• Les freins et les leviers à propos de ce recueil.
• Activons ces leviers.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques.
• Mises en situation, exercices pratiques et présentation d’outils.

Cette formation s’adresse aux soignants, médicaux, paramédicaux, volontaires, confrontés à cette problématique.

• Identifier l’impact traumatique consécutif à la confrontation au décès d’un bénéficiaire.
• Définir les notions de perte et de deuil dans ce cadre particulier.
• Reconnaître les difficultés et/ou un processus de deuil compliqué.
• Identifier ses ressources personnelles afin de mieux affronter l’expérience.

• Analyser les expériences potentiellement traumatiques et leurs impacts psychiques.
• Comprendre les conséquences psychiques et/ou professionnelles.
• Échanger quant aux mesures à prendre et/ou attitudes à développer afin de surmonter l’expérience.
• Prendre en charge les professionnels confrontés aux expériences potentiellement traumatiques.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1220.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

La douleur ne peut pas rester sans réponse. Parallèlement à l’utilisation d’antidouleurs, nous proposons au patient différents outils thérapeutiques qui vont l’aider à être plus confortable le temps qu’un médicament agisse ou lorsque la douleur se majore. La Pleine Conscience est à l’avant-plan. Elle a fait ses preuves au niveau scientifique dans la gestion de la douleur.

• Cette formation s’adresse aux soignants (médicaux, paramédicaux,…) et aux volontaires/aidants proches en contact avec des patients présentant des douleurs et des symptômes d’inconfort.
• Les soignants y trouveront matière à compléter leur savoir, à échanger. Les non-soignants (volontaires/aidants proches) y trouveront les informations nécessaires à une meilleure compréhension de la douleur.

• Placer le patient au centre de la gestion antalgique.
• Observer, évaluer et soulager la douleur.
• Donner des pistes alternatives pour la prise en charge thérapeutique.
• Aider le soignant à soulager la douleur et à faire face à son impuissance si la douleur persiste.
• Associer les moyens allopathiques aux techniques alternatives.
• Écouter les difficultés des soignants et les aider dans la communiquer avec les médecins.

• Écouter la douleur comme moyen de la diagnostiquer et de la soulager.
• Faire face à son impuissance à aider une personne souffrante.
• Soignant/soigné, devenir co-acteurs de la gestion de la douleur.
• Comment les émotions influencent- elles la douleur ?
• Gérer les émotions lorsque la douleur est présente.
• Manutention d’un patient douloureux.
• Le toucher thérapeutique dans le soin infirmier.
• Le massage crânio-sacré comme antalgique.
• L’influence de la respiration sur la douleur et sur les émotions associées.
• La pratique de la Pleine Conscience.
• Les Fleurs de Bach dans la gestion de la douleur.
• Les huiles essentielles qui soulagent.
• Douleur et dyspnée, comment les dissocier.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques. 
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.
• Partage d’expériences professionnelles et exposés des situations difficiles où le soignant a été face à son impuissance.
• Évaluation d’une douleur vécue par le soignant afin et comparaison avec les autres participants afin de mettre en avant le côté subjectif de la douleur.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1221.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

• La notion de mauvaise nouvelle doit s’entendre comme une nouvelle qui va changer radicalement et négativement l’idée que se fait le patient de son avenir. Il y a bien sûr les annonces difficiles en médecine et qui incombent au médecin, comme les maladies graves, les récidives, les traitements lourds, les pertes d’autonomie,… Mais bien des changements dans l’entourage proche du patient peuvent aussi constituer une mauvaise nouvelle : décès ou maladie grave d’un conjoint, d’un enfant, départ à l’étranger d’une personne importante pour le patient, vente de sa maison, perte d’autonomie, de mobilité,…
• Même si la personne qui annonce pressent le côté délicat de l’opération, il lui est très difficile de mesurer à l’avance l’intensité de l’onde de choc qui sera générée, simplement parce que l’impact est différent d’une personne à l’autre. L’annonce doit se concevoir comme un processus qui ne peut se réduire au simple moment de la transmission verbale mais qui engage l’ensemble de l’équipe soignante et/ou paramédicale en vue d’assurer une cohérence des interventions auprès du patient.
• Cette équipe, elle-même en prise avec ses propres émotions, doit pourtant servir de « phare dans la tempête » en accueillant et en favorisant la verbalisation des craintes du patient. Ce travail d’accompagnement est particulièrement anxiogène pour l’intervenant et génère du stress.

• Cette formation s’adresse aux professionnels concernés par le processus d’annonce et d’accompagnement d’une mauvaise nouvelle.
• Pour les soignants mais aussi toute personne impliquée dans la relation d’aide (assistants sociaux, psychologues, bénévoles,…).

• Établir avec le patient une relation empathique, dans le respect de sa personnalité et de ses désirs.
• Déterminer ce qui se joue chez le patient lors de l’annonce.
• Développer une attitude d’accueil et d’accompagnement à l’égard de ces processus émotionnels.
• Identifier, pour le professionnel, ses propres émotions, attitudes et leur impact sur sa relation au patient.
• Permettre au professionnel de reconnaître les processus défensifs en jeu chez lui et dans sa relation au patient.
• Explorer des stratégies de régulation émotionnelle qui sont efficaces et confortables pour le professionnel mais aussi profitables à la relation avec le patient.
• Expérimenter une méthode pour aborder le patient lors de l’annonce d’une mauvaise nouvelle.

• L’annonce et l’accompagnement d’une mauvaise nouvelle : aspects généraux.
• L’annonce et l’accompagnement d’une mauvaise nouvelle : côté patient.
• L’annonce et l’accompagnement d’une mauvaise nouvelle : côté professionnel.
• Le protocole Buckman comme fil conducteur de l’annonce.
• Exercices de mise en pratique et d’exploitation des outils transmis.

• Présentation d’éléments théoriques pour mesurer les enjeux relatifs à l’annonce d’une mauvaise nouvelle.
• Ces moments davantage « ex cathedra » permettent ensuite de relier le contenu à leur expérience professionnelle et de mettre à jour leurs préoccupations.
• La partie pratique propose un entraînement à des techniques de communication isolées (répondre avec empathie, répondre aux questions difficiles, répondre aux émotions,…) avant de se lancer dans le jeu de rôle.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1222.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

Les personnes âgées/en fin de vie sont spécialement concernées par la douleur. Souvent difficile à gérer, elle entraîne de l’impuissance pour les professionnels et perturbent les relations avec les patients/résidents. Être capable de répondre à la demande de soulagement allège la charge de travail des professionnels : les relations s’améliorent, le patient/résident récupère une part de son indépendance. La gestion des autres symptômes concourt au bien-être général et à la gestion de la douleur.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet à titre personnel ou professionnel.
• Elle s’adresse aux soignants, volontaires, aidants et proches en contact avec des personnes présentant des douleurs et des symptômes d’inconfort.
• Les soignants (médicaux, paramédicaux,…) y trouveront matière à compléter leur savoir, à échanger.
• Les non-soignants (volontaires, aidants, proches) y trouveront les informations nécessaires à une meilleure compréhension du secteur dans lequel ils interviennent.

• Développer la compréhension du symptôme douleur.
• Mettre en place des actions concrètes pour la prise en charge.
• Comment améliorer son attitude relationnelle avec le patient/résident douloureux.
• Apprendre à observer le comportement douloureux et à transmettre les informations de manière objective à l’équipe/aux collègues.
• Identifier des moyens simples et efficaces pour diminuer les symptômes d’inconfort physiques et psychiques du patient/résident.
• Comment analyser les résultats d’un traitement de la douleur ?

• Douleur ou souffrance ? Aiguë ou chronique ? Douleur nociceptive ou neuropathique ? Plainte ?
• La réaction à la douleur est un comportement appris par l’individu, elle est subjective et les études démontrent la difficulté des soignants à ne pas la sous-estimer. 
• Explorer les facteurs susceptibles d’aggraver ou de diminuer la douleur pour s’en servir comme leviers dans la prise en charge et de ne pas négliger la douleur liée aux soins.
• Pour « comprendre » la douleur de l’autre, les soignants disposent d’outils : anamnèse, observation, relation, information du patient.
• Les traitements pharmacologiques sont abordés de façon adaptée au public en vue de comprendre l’action du médicament pour mieux évaluer son action ou son échec.
• Les conséquences délétères des douleurs non soulagées sont mises en avant.
• Les outils pratiques de prise en charge de l’inconfort physique (asthénie, anorexie, déshydratation, dyspnée,…) sont développés en termes d’actions abordables par tous.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1223.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

Les Soins Palliatifs sont un droit pour tout patient en Belgique. Il convient donc que les soignants puissent y participer. La mort restant difficile à côtoyer pour certains (mauvaises expériences familiales et/ou professionnelles, croyances erronées,…), il est indispensable que chacun reçoive des informations correctes et des réponses à ses questions pour éviter la fuite devant les situations ou un burn-out.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet, à titre personnel et/ou professionnel et/ou en contact avec des patients en fin de vie et leur famille.

• Analyser le concept des Soins Palliatifs d’émergence en Angleterre à nos jours.
• Identifier ce que ces soins apportent au patient, à sa famille/aidant proche, au soignant, à l’institution.
• Se poser la question de « quand » commencer les Soins Palliatifs ?
• Se situer et situer son institution dans l’organisation des Soins Palliatifs en Belgique de nos jours afin d’identifier ses partenaires au sein et en dehors de l’institution.
• Explorer certains aspects des Soins Palliatifs, comme la communication et l’accompagnement du deuil.
• Trouver sa place dans la prise en charge palliative au sein de son institution, exprimer ses réticences, ses limites afin de les dépasser.

• Pourquoi l’émergence des Soins Palliatifs ? Historique du mouvement et son implantation en Belgique.
• Analyse minutieuse de la définition de l’OMS et évolution des définitions belges.
• Le cadre légal né en 2002 en Belgique : lois sur les droits des patients, les Soins Palliatifs et l’euthanasie.
• Les droits du patient que l’on peut pointer en Soins Palliatifs.
• La question du « quand » passer aux Soins Palliatifs ? Les difficultés d’identifier ce moment avec des patients chroniques (présentation d’un outil).
• Découvrir les besoins des personnes en fin de vie (selon la théorie de Maslow) et leur hiérarchie.
• Comment accompagner/soutenir les patients en fin de vie, leurs proches, familles, collègues ?
• Importance du langage non verbal dans la communication.
• Le deuil : quand ? Qui est concerné ? Les chemins empruntés par les patients, familles, soignants ?
• À travers chaque sujet abordé, les craintes et les limites de chacun seront écoutées.

• Pédagogie active et participative, dans le respect de la confidentialité des échanges.
• La théorie est construite le plus souvent possible avec les participants, autour de leurs vécus et expériences personnelles et/ou professionnelles.
• Utilisation de vidéos : échange entre un soignant et un patient.
• Analyse de cas tirés de l’expérience du formateur ou de la littérature.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1224.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

Le personnel actif au sein des différentes structures de soins connaît son public cible : Il a appris à accompagner et repérer les besoins des personnes âgées, désorientées et ou en perte d’autonomie. Qu’en est-il lorsque la personne est plus jeune ou présente d’autres troubles ? Elle nécessite un cadre, une posture et une attitude différentes de celle qu’on adopte majoritairement. Comment, sans être formé aux soins psychiatriques, peut-on aider le bénéficiaire et rentrer en contact de manière constructive.

Ces questions se posent pour le personnel soignant mais également pour les acteurs de cuisine, d’entretien, d’accueil, d’animation confrontés à ces personnes dont les comportements sont quelquefois vécus comme déstabilisants et tout autant aux personnes privées confrontées à ces troubles chez un proche ou membre de la famille. Nous vous proposons une journée d’immersion dans le vécu de ces personnes pour tenter de comprendre ensemble ces phrases, postures, comportements vécus comme perturbants et réfléchir aux stratégies pour y répondre au mieux.

Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne non soignante professionnelle qui accueille et est confrontée à des résidents/patients/bénéficiaires/proches présentant un profil psychiatrique.

• Permettre aux travailleurs de mieux comprendre et accompagner la personne souffrant d’une pathologie psychiatrique. En comprenant ce que vit ce patient/résident/bénéficiaire/proche, la personne sera davantage en mesure de changer, d’adapter sa façon de faire et d’être. Elle sera plus à même de différencier une personne avec un profil psychiatrique, d’un profil neurocognitif (démence) et s’y adapter.
• Identifier les groupes de pathologies psychiatriques : troubles psychotiques, troubles de l’humeur, troubles anxieux (caractéristiques, manifestations, traitements).
• Comment accompagner ces résidents/patients/proches ?
• Analyser, pour une population de travailleurs essentiellement de formation non-soignante, comment poser des actions cohérentes avec le reste de l’équipe et des proches.
• Apprendre à ajuster son mode relationnel en lien avec les situations rencontrées : délires, hallucinations, traits paranoïaques, troubles de l’humeur.
• Développer des pistes pour un travail ensemble au sein de l’institution avec les familles et les accompagnants.

• Représentations sociales de la maladie mentale et identification du contexte actuel.
• Délimiter ce qu’on appelle les troubles psychiatriques, comment les différencier.
• Psychiatrie : Entre fantasmes collectifs et comportements dérangeants. Comprendre et gérer ses propres inquiétudes.
• Comment accompagner ces personnes souffrant de troubles psychiatriques ?
• Comment agir face aux comportements et attitudes déstabilisantes (les délires, les hallucinations, les traits paranoïaques, les troubles de l’humeur,…) ?
• Quelques éléments permettant de différencier un « profil psychiatrique » d’un « profil neurocognitif ». 
• Mise en évidence des éléments spécifiques qui facilitent l’accueil et l’accompagnement de ce public. 
• Comment tenir un cadre rassurant en équipe face à des bénéficiaires en demande de structure.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

La mise en place de la réforme 107 privilégie la prise en soins de la personne présentant des troubles psychiatriques dans son milieu de vie. On observe une fermeture progressive des lits psychiatriques dits « de longue durée ». Cette réforme vise à la réhabilitation et l’inclusion sociale du patient. De ce fait, il y a une recherche d’alternatives à l’hospitalisation. Les personnes stabilisées doivent trouver de nouveaux lieux de vie.

Depuis quelques années, le public des MR-MRS (ou d’autres types d’institutions) évolue. Elles accueillent ou sont susceptibles d’accueillir de plus en plus des personnes présentant des troubles psychiatriques. Le personnel de maisons de repos connaît bien son public cible : Il a appris à accompagner et repérer les besoins des personnes âgées, désorientées et ou en perte d’autonomie. Qu’en est-il lorsque la personne est plus jeune ou présente d’autres troubles ? Elle nécessite un cadre, une posture et une attitude différente de celle qu’on adopte majoritairement. 

Souvent le personnel est démuni. Il ne (re)connait pas les troubles psychiatriques ou il a de vagues notions quelquefois erronées. Sans parler des à priori, croyances et représentations qu’on peut avoir de la psychiatrie. Ces dernières peuvent susciter peur, rejet et distanciation vis-à-vis du résident.

• Cette formation s’adresse aux soignants (infirmier(e)s, aides soignant(e)s, kinés, ergo, logo et autres) qui accueillent ou accompagnent des résidents/patients/bénéficiaires avec un profil psychiatrique. 

• Différencier les grands groupes de pathologies psychiatriques : troubles psychotiques, troubles de l’humeur, troubles anxieux (caractéristiques, manifestations, traitements et accompagnement).
• Identifier les besoins spécifiques de ces résidents.
• Comment ajuster son mode relationnel en lien avec les situations rencontrées : délires, hallucinations, traits paranoïaques, troubles de l’humeur.
• Différencier le profil psychiatrique du profil neurocognitif.
• Développer des pistes pour une prise en soin globale et un travail en réseau.

• Délimiter ce qu’on appelle les troubles psychiatriques.
• Quelles sont les pathologies qui font partie des troubles psychiatriques ? Quelles sont celles qui n’en font pas partie ?
• Les grands groupes de pathologies psychiatriques : troubles psychotiques (schizophrénies), troubles de l’humeur (dépression, troubles bipolaires), les états limites ainsi que les troubles anxieux généralisés, phobiques, obsessionnels compulsifs.
• Les caractéristiques, manifestations et traitements médicamenteux et non médicamenteux de ces troubles psychiatriques.
• Comment agir face aux comportements et attitudes déstabilisantes (les délires, les hallucinations, les traits paranoïaques, les troubles de l’humeur,…) ?
• Construction d’un tableau récapitulatif visant à différencier un « profil psychiatrique » d’un « profil neurocognitif ».
• Mise en évidence des éléments spécifiques qui facilitent l’accueil et l’accompagnement de ce public.

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques. 
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1226.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

Pour le (la) technicien(ne) de surface, il s’agit de compétences techniques, les compétences relationnelles ne sont pas requises. Aucune formation relationnelle n’est nécessaire pour leur travail et pourtant… Leur rôle auprès des patients/résidents n’est peut-être pas thérapeutique, ni intégré dans la relation d’aide mais en tout cas il ponctue le quotidien de la personne. Il (elle) devient parfois celui (celle) qui recueille les confidences. Le (la) technicien(ne) de surface, même s’il (elle) n’est pas inclus(e) dans l’équipe de soins, se trouve souvent devant des situations interpellantes.

Public cible

• Cette formation s’adresse aux technicien(ne)s de surface travaillant dans le secteur de l’aide aux personnes.
• Cette journée est complémentaire à la formation intitulée « Technicien(ne) de surface : communiquer et interagir avec les autres professionnels » (il n’est pas requis d’avoir suivi l’une des formations pour participer à l’autre).

• Définir le cadre de travail.
• Définir les limites professionnelles.
• Offrir des outils d’écoute et un lieu de parole.

• Il/elle reçoit les confidences des patients/résidents, il/elle écoute, il/elle voit. Mais qu’en fait-il/elle ? C’est souvent son bon sens qui le/la guide, n’étant aucunement formé(e) pour l’aide aux personnes
• Il/elle côtoie l’équipe de soins mais n’en fait pas partie. Il/elle agit comme il/elle peut en respecter les limites professionnelles. Quelles sont ces limites professionnelles ?
• Notions de communication, de déontologie, de secret professionnel, des notions relationnelles tel que l’écoute, l’empathie, la juste distance,… Il sera aussi question de la place du (de la) technicien(ne) de surface : sa place dans l’équipe – La place qu’il (elle) donne aux patients/résidents – La place que les patients/résidents lui donnent. 

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques. 
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1227.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.

En 1 journée (formation de 6h)

Public cible

• Cette formation s’adresse aux technicien(ne)s de surface travaillant dans le secteur de l’aide aux personnes.
• Cette journée est complémentaire à la formation intitulée « Technicien(ne) de surface : un travail relationnel au patient dans l’ombre de l’équipe de soins » au cours de laquelle certaines notions, entre autres, de communication sont abordées. Pour information, il n’est pas requis d’avoir suivi l’une des formations pour participer à l’autre.

Objectifs

• (Re)définir le cadre de travail et les limites professionnelles. 
• Développer des outils d’écoute.
• Offrir un lieu de parole.
• Découvrir de nouvelles techniques de communication.
• Apporter un(e) autre lecture/regard sur certaines situations tirées de la pratique professionnelle.

• Cette journée sera plus largement consacrée aux notions de place, de communication, de positionnement avec les collègues et les autres professionnels de soins.
• Divers aspects plus théoriques seront abordés plus en profondeur via des mises en situation.
• Les notions de communication, de déontologie, de secret professionnel, des notions relationnelles telles que l’écoute, l’empathie, la juste distance,… seront approfondies.

• Apports théoriques en support de la pratique afin de permettre la compréhension des mécanismes de Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage. 
• Apports théoriques.
• Mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils.

En pratique

En 1 journée (formation de 6h)

« Entre les soins et les affects, comment trouver une place  » juste » pour tous, où l’on puisse entendre, aussi, ce qui ne peut pas se dire ? »

L’annonce d’une maladie grave est un événement potentiellement traumatique. Elle fait irruption dans la vie d’une personne et actualise l’éventualité de la mort. L’onde de choc touche également les proches et bouleverse le système et le fonctionnement familial. La communication peut se complexifier et engendrer des malentendus entre les proches eux-mêmes et/ou avec les soignants.

• Cette formation est ouverte à tout public et s’adresse à toute personne intéressée par le sujet et désirant comprendre et aider au mieux un proche malade.
• Cette formation s’adresse également aux professionnels de la santé (médicaux, paramédicaux, aidants, volontaires,…).

• Mettre en évidence les répercussions psychiques de la maladie grave sur le sujet malade.
• Analyser le fonctionnement familial affecté par la maladie grave d’un de ses membres.
• Comment communiquer au mieux dans le contexte « tendu » de la maladie grave ?
• Apprendre à faire face et se protéger des répercussions émotionnelles du patient, de sa famille et de ses proches, des autres soignants.
• Développer une attitude « juste » pour chacun.

• Les différents liens entre le corps médical, le malade et sa famille.
• Le processus relationnel et affectif.
• Le bouleversement au niveau de la communication et du fonctionnement familial : comment parler de la maladie ? Comment parler aux enfants ? Les silences, les non-dits, les prises de décision divergentes, les changements de rôles, le sentiment de solitude,…
• Pistes pour mobiliser les ressources de la famille et de ses membres à s’adapter à la nouvelle réalité
• Comment accueillir au mieux la souffrance spécifique des familles (enfants et adultes) ?

• Pédagogie active et participative adaptée aux situations vécues par les participants.
• Approche diversifiée privilégiant la variété, le dynamisme et le concret dans l’apprentissage.
• Apports théoriques, mises en situation et exercices pratiques.
• Présentation d’outils et échanges, partages des vécues et expériences issues de la pratique de chacun.

• Financement FormAction In Situ, code opérateur IN1228.
• Avant de vous inscrire, vérifiez que vous répondez bien aux conditions d’accès de FormAction : https://catalogueformaction.be/conditions-dacces
• Si vous souhaitez vous inscrire, nous vous invitons à prendre contact avec le Catalogue FormAction – formation@apef-febi.org – Tél : 02/229.20.23.